Roméo Dallaire, le dernier des justes.
Quand le général Roméo Dallaire a été appelé à assurer le commandement de la Force internationale de maintien de la paix des Nations unies au Rwanda, il croyait être dépêché en Afrique pour aider deux belligérants à trouver un terrain d'entente. Une fois au Rwanda, il découvrit une tout autre réalité. Pris entre une guerre civile sanglante et un génocide impitoyable, le général et ses hommes - une petite troupe - furent bientôt abandonnés, sans aucune ressource, par leurs patries respectives. Pour lutter contre la vague de tueries qui ravageaient ce pays, ils ne purent compter que sur leur propre générosité et sur leur courage personnel. En moins de cent jours, la guerre au Rwanda allait faire plus de 800 000 morts et au-delà de 3 millions de blessés et de réfugiés. C'est avec le poids de cette tragédie que le général Dallaire est rentré chez lui, au Canada, en septembre 1994, brisé et désillusionné. Il lui faudra sept ans avant de pouvoir commencer à écrire sur ce sujet. Dans J'ai serré la main du diable, il raconte l'enfer qu'il a vécu au Rwanda et il n'hésite pas à reconstituer les terribles événements auxquels la communauté internationale a tourné le dos. Son témoignage est un compte rendu sans concession de la faillite de l'humanité à mettre un terme à un génocide pourtant maintes fois dénoncé.
J'ai serré la main du diable : La faillite de l'humanité au Rwanda (Broché) 684 pages, 25 euros
http://www.amazon.fr/dp/276480072X
http://cec.rwanda.free.fr
Quand le général Roméo Dallaire a été appelé à assurer le commandement de la Force internationale de maintien de la paix des Nations unies au Rwanda, il croyait être dépêché en Afrique pour aider deux belligérants à trouver un terrain d'entente. Une fois au Rwanda, il découvrit une tout autre réalité. Pris entre une guerre civile sanglante et un génocide impitoyable, le général et ses hommes - une petite troupe - furent bientôt abandonnés, sans aucune ressource, par leurs patries respectives. Pour lutter contre la vague de tueries qui ravageaient ce pays, ils ne purent compter que sur leur propre générosité et sur leur courage personnel. En moins de cent jours, la guerre au Rwanda allait faire plus de 800 000 morts et au-delà de 3 millions de blessés et de réfugiés. C'est avec le poids de cette tragédie que le général Dallaire est rentré chez lui, au Canada, en septembre 1994, brisé et désillusionné. Il lui faudra sept ans avant de pouvoir commencer à écrire sur ce sujet. Dans J'ai serré la main du diable, il raconte l'enfer qu'il a vécu au Rwanda et il n'hésite pas à reconstituer les terribles événements auxquels la communauté internationale a tourné le dos. Son témoignage est un compte rendu sans concession de la faillite de l'humanité à mettre un terme à un génocide pourtant maintes fois dénoncé.
J'ai serré la main du diable : La faillite de l'humanité au Rwanda (Broché) 684 pages, 25 euros
http://www.amazon.fr/dp/276480072X
http://cec.rwanda.free.fr
Category
🗞
News