Entretien avec Philippe Pastoureau, Installé avec son épouse sur une exploitation de
89 hectares, Philippe Pastoureau ne possède qu’une fourche télescopique en propriété, tout le reste étant partagé en Cuma. Ce défenseur de l’agriculture dite de conservation a abandonné le labour en 1995, et mis en place un élevage de vers de terre dans ses sols pour les vivifier. Avec ses voisins, il travaille en collaboration avec trois constructeurs français pour adapter le matériel à leurs attentes, et multiplie les expériences, depuis l’essai technique d’implantation jusqu’à une parcelle d’agroforesterie en partenariat avec la société Veolia Propreté.
89 hectares, Philippe Pastoureau ne possède qu’une fourche télescopique en propriété, tout le reste étant partagé en Cuma. Ce défenseur de l’agriculture dite de conservation a abandonné le labour en 1995, et mis en place un élevage de vers de terre dans ses sols pour les vivifier. Avec ses voisins, il travaille en collaboration avec trois constructeurs français pour adapter le matériel à leurs attentes, et multiplie les expériences, depuis l’essai technique d’implantation jusqu’à une parcelle d’agroforesterie en partenariat avec la société Veolia Propreté.
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