La mesure, proposée par la Commission Européenne sur le retour des farines animales, à l'origine de la maladie de la vache folle, a reçu l'aval du Conseil national de l'alimentation (CNA), le 31 mai 2011.
La CNA (des représentants des autorités de santé, des agriculteurs, des industriels et des consommateurs, sous la tutelle du ministère de l'Agriculture), s'est dite favorable à la levée de l'interdiction de 2001 pour le secteur de l'aquaculture dans un premier temps.
Dans un second temps, une «extension éventuelle à l'alimentation des porcs et des volailles» pourrait être envisagée «après un bilan bénéfices/risques».
En revanche, l'interdiction continuerait de s'appliquer aux élevages bovins.
La maladie de la vache folle, ou encéphalopathie spongiforme bovine, est apparue dès 1986 chez les bovins au Royaume-Uni, avant de s'étendre en Europe dans les années 1990, décimant des cheptels entiers.
En cause : les farines animales de carcasses de vaches et autres animaux, que l'on faisait manger aux vaches elles-mêmes. Cette maladie se serait ensuite transmise à l'homme, sous la forme d'une nouvelle variante de la maladie de Creutzfeldt-Jakob.
Environ 200 personnes auraient été infectées, et il n'existe aucun traitement à l'heure actuelle.
La CNA (des représentants des autorités de santé, des agriculteurs, des industriels et des consommateurs, sous la tutelle du ministère de l'Agriculture), s'est dite favorable à la levée de l'interdiction de 2001 pour le secteur de l'aquaculture dans un premier temps.
Dans un second temps, une «extension éventuelle à l'alimentation des porcs et des volailles» pourrait être envisagée «après un bilan bénéfices/risques».
En revanche, l'interdiction continuerait de s'appliquer aux élevages bovins.
La maladie de la vache folle, ou encéphalopathie spongiforme bovine, est apparue dès 1986 chez les bovins au Royaume-Uni, avant de s'étendre en Europe dans les années 1990, décimant des cheptels entiers.
En cause : les farines animales de carcasses de vaches et autres animaux, que l'on faisait manger aux vaches elles-mêmes. Cette maladie se serait ensuite transmise à l'homme, sous la forme d'une nouvelle variante de la maladie de Creutzfeldt-Jakob.
Environ 200 personnes auraient été infectées, et il n'existe aucun traitement à l'heure actuelle.
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