FIN DES TEMPS & CALENDRIER Maya La Grande Purification 3-7
"La vérité vous rendra libre." Jn 8 32.
«Nous commencions à nous déplacer à travers cet "air" qui n'en était pas. Nous flottions au-dessus d'une sorte de route avec des arbres plantés tout le long . C'était une autoroute à 2 fois deux voies séparée par une rivière. La rivière était large, limpide comme du cristal, pure et si attirante. J’ai eu envie d'y aller nager, même si je n'avais pas de corps. A intervalles réguliers se trouvaient des ponts. Il y avait des gens en dessous de nous, des gens ordinaires, certains vêtus en tenue moderne, d’autres avec des robes longues comme des toges, certains ne portant rien d'autre que de la lumière. Tous avaient l'air d'avoir environ 25 ans, en bonne santé, dynamiques, solides. J'ai vu des enfants aussi, jouant dans la rivière, riant, sautant dans l'eau depuis les ponts. Beaucoup de rires et de joie, imprégnait cet endroit étonnant. Ici et là, parmi les gens, j'ai aussi vu des êtres qui étaient différents, plus grands, puissants, mais doux. Ils parlaient aux gens qui marchaient avec eux. Certains transportaient des livres et d'autres choses. Ils semblaient être des instructeurs, mais aussi des étudiants, comme s'ils apprenaient également. Il s'avère que ces êtres étaient des anges. Je voyais des bancs, des tables placés le long de la rivière, sous les arbres. Les gens aussi bien que les "êtres" y étaient assis et parlaient, souriant, riant, d'autres étant plongés dans de profondes pensées ou conversations, comme s'ils contemplaient de nouvelles révélations qu'ils venaient juste de recevoir. Tout ceci dans une ambiance décontractée.
Les arbres eux-mêmes étaient incroyables, avec des branches puissantes, s'étalant en forme de baldaquins vivants au-dessus du fleuve et des bancs. J'ai vu des fruits dans les arbres, or, vert, orange, violet, bleu, toutes sortes de couleurs. Les gens cueillaient des fruits ici et là et les mangeaient avec désinvolture, comme si c'était juste la chose à faire, j’ai remarqué il n'y avait pas de déchets, pas de pépins ni de peau à laisser. Les gens nous ont regardés lorsque nous sommes passés au-dessus d'eux, ils nous saluaient et souriaient. Je ne savais pas comment les saluer en retour parce que je n'avais pas de corps. Jésus leur fit des signes de bonjour en souriant, en riant même, joyeux, en paix avec ses créatures. J'ai regardé au-loin dans la direction vers laquelle nous allions. J'ai vu des champs s'étendant à perte de vue. J'ai vu des lumières parsemées çà et là dans ces champs. J'ai demandé à Jésus qu’elles étaient ces lumières, Il a dit : "ce sont des villes ou villages, des lieux d'habitations et de commerce. "Commerce" ai-je pensé? A quoi peut bien service le commerce dans cet endroit? Il m'a regardé et a souri, et il m'a dit: "tu comprendras en temps voulu." Tu vois ceci est notre destination, m’a-il-dit, en pointant vers la fin de l’autoroute. J'ai regardé le plus loin possible, ça avait l'air d'être à des milliers de kilomètres…»
(à suivre…)
«Nous commencions à nous déplacer à travers cet "air" qui n'en était pas. Nous flottions au-dessus d'une sorte de route avec des arbres plantés tout le long . C'était une autoroute à 2 fois deux voies séparée par une rivière. La rivière était large, limpide comme du cristal, pure et si attirante. J’ai eu envie d'y aller nager, même si je n'avais pas de corps. A intervalles réguliers se trouvaient des ponts. Il y avait des gens en dessous de nous, des gens ordinaires, certains vêtus en tenue moderne, d’autres avec des robes longues comme des toges, certains ne portant rien d'autre que de la lumière. Tous avaient l'air d'avoir environ 25 ans, en bonne santé, dynamiques, solides. J'ai vu des enfants aussi, jouant dans la rivière, riant, sautant dans l'eau depuis les ponts. Beaucoup de rires et de joie, imprégnait cet endroit étonnant. Ici et là, parmi les gens, j'ai aussi vu des êtres qui étaient différents, plus grands, puissants, mais doux. Ils parlaient aux gens qui marchaient avec eux. Certains transportaient des livres et d'autres choses. Ils semblaient être des instructeurs, mais aussi des étudiants, comme s'ils apprenaient également. Il s'avère que ces êtres étaient des anges. Je voyais des bancs, des tables placés le long de la rivière, sous les arbres. Les gens aussi bien que les "êtres" y étaient assis et parlaient, souriant, riant, d'autres étant plongés dans de profondes pensées ou conversations, comme s'ils contemplaient de nouvelles révélations qu'ils venaient juste de recevoir. Tout ceci dans une ambiance décontractée.
Les arbres eux-mêmes étaient incroyables, avec des branches puissantes, s'étalant en forme de baldaquins vivants au-dessus du fleuve et des bancs. J'ai vu des fruits dans les arbres, or, vert, orange, violet, bleu, toutes sortes de couleurs. Les gens cueillaient des fruits ici et là et les mangeaient avec désinvolture, comme si c'était juste la chose à faire, j’ai remarqué il n'y avait pas de déchets, pas de pépins ni de peau à laisser. Les gens nous ont regardés lorsque nous sommes passés au-dessus d'eux, ils nous saluaient et souriaient. Je ne savais pas comment les saluer en retour parce que je n'avais pas de corps. Jésus leur fit des signes de bonjour en souriant, en riant même, joyeux, en paix avec ses créatures. J'ai regardé au-loin dans la direction vers laquelle nous allions. J'ai vu des champs s'étendant à perte de vue. J'ai vu des lumières parsemées çà et là dans ces champs. J'ai demandé à Jésus qu’elles étaient ces lumières, Il a dit : "ce sont des villes ou villages, des lieux d'habitations et de commerce. "Commerce" ai-je pensé? A quoi peut bien service le commerce dans cet endroit? Il m'a regardé et a souri, et il m'a dit: "tu comprendras en temps voulu." Tu vois ceci est notre destination, m’a-il-dit, en pointant vers la fin de l’autoroute. J'ai regardé le plus loin possible, ça avait l'air d'être à des milliers de kilomètres…»
(à suivre…)