En 1939, le péril nazi s’étend et s’approche de la France.
La « drôle de guerre », puis la défaite de l’armée française, entraînent l’invasion du pays par les troupes allemandes. Dès juin 1940, sur l’ensemble du territoire, naît un « esprit de résistance », en dépit de la débâcle, de la collaboration de l’Etat, de la répression, de la peur.
C’est être passeur de mémoire que d’honorer aujourd’hui le courage et la détermination de ces hommes et ces femmes de l’ombre, toutes opinions confondues, qui ont payé de leur vie leur volonté de dire « non ». Par des actes simples, mais forts, ou par leur engagement dans la Résistance.
C’est aussi relier le passé au présent que d’écouter la voix de nos frères d’hier qui, du fond de leurs cachots, derrière leurs barbelés, sous la torture ou les balles du peloton d’exécution, nous appellent à la vigilance.
Remplir ce double devoir, de mémoire et de vigilance, notamment auprès des plus jeunes, voilà le projet de cette chronique de la France combattante, du premier tract clandestin (juin 1940) à la Libération (mai 1945). Des centaines de faits de résistance et de destins de femmes et d'hommes sont ainsi mis en lumière, illustrés par une riche iconographie, objets et documents souvent inédits issus de musées régionaux et de collections privées.
La « drôle de guerre », puis la défaite de l’armée française, entraînent l’invasion du pays par les troupes allemandes. Dès juin 1940, sur l’ensemble du territoire, naît un « esprit de résistance », en dépit de la débâcle, de la collaboration de l’Etat, de la répression, de la peur.
C’est être passeur de mémoire que d’honorer aujourd’hui le courage et la détermination de ces hommes et ces femmes de l’ombre, toutes opinions confondues, qui ont payé de leur vie leur volonté de dire « non ». Par des actes simples, mais forts, ou par leur engagement dans la Résistance.
C’est aussi relier le passé au présent que d’écouter la voix de nos frères d’hier qui, du fond de leurs cachots, derrière leurs barbelés, sous la torture ou les balles du peloton d’exécution, nous appellent à la vigilance.
Remplir ce double devoir, de mémoire et de vigilance, notamment auprès des plus jeunes, voilà le projet de cette chronique de la France combattante, du premier tract clandestin (juin 1940) à la Libération (mai 1945). Des centaines de faits de résistance et de destins de femmes et d'hommes sont ainsi mis en lumière, illustrés par une riche iconographie, objets et documents souvent inédits issus de musées régionaux et de collections privées.
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