erbalunga2b
@erbalunga2b
Terre Corse, mensuel de sensibilité communiste paraît sous cette appellation depuis les années 30, période pendant laquelle il devint le journal fer de lance du combat contre la montée du fascisme puis des patriotes pendant l’occupation jusqu’à la Libération fondée sur l’insurrection populaire.
Sa devise « Forti seremu si seremu uniti » est celle de Pascal Paoli. Elle s’adresse en priorité « aux spoliés de la terre », ceux aux noms desquels Jean Nicoli clamait son engagement de communiste Résistant, jusque devant ses bourreaux les chemises noires.
Terre Corse, en portant cet idéal progressiste d’émancipation humaine, participe de la pluralité de la presse et en défend la liberté. Lorsque le pluralisme de la presse est bafoué les travailleurs, les plus modestes sont les plus touchés.
L’affirmation de ce choix à travers le temps nous conduit aujourd’hui à prendre en compte les conditions nouvelles du débat d’idées qui se fait aussi par internet.
Disposer d’une telle information, c’est se donner plus de force pour comprendre, lutter, résister et prolonger le combat émancipateur du mouvement ouvrier dans une période où la pression du capitalisme financier se fait plus rude.
Sa devise « Forti seremu si seremu uniti » est celle de Pascal Paoli. Elle s’adresse en priorité « aux spoliés de la terre », ceux aux noms desquels Jean Nicoli clamait son engagement de communiste Résistant, jusque devant ses bourreaux les chemises noires.
Terre Corse, en portant cet idéal progressiste d’émancipation humaine, participe de la pluralité de la presse et en défend la liberté. Lorsque le pluralisme de la presse est bafoué les travailleurs, les plus modestes sont les plus touchés.
L’affirmation de ce choix à travers le temps nous conduit aujourd’hui à prendre en compte les conditions nouvelles du débat d’idées qui se fait aussi par internet.
Disposer d’une telle information, c’est se donner plus de force pour comprendre, lutter, résister et prolonger le combat émancipateur du mouvement ouvrier dans une période où la pression du capitalisme financier se fait plus rude.