Mozart - Requiem - Lacrymosa
• Chez Mozart, bien que seules les huit premières soient de la main du compositeur, ce passage reste le plus dramatique de tout son requiem. C’est ici que le drame, la pesanteur, la douleur et les larmes se combinent à travers la musique.
• Tout le morceau se balance dans un rythme à trois temps, soutenu par les cordes avec leur motif répété. Le chœur quant à lui suit de grandes et lentes évolutions vers le haut comme vers le bas.
• La première est une montée très « légère » et « piquée » au début et donne une impression de douleur froide et tremblante, et qui par la suite s’ouvre complètement et devient beaucoup plus « étalée » pour ensuite s’éteindre subitement et revenir à une tension moins grande.
• La deuxième montée est tout aussi impressionnante avec une puissance et une tension dans la musique qui devient lancinante et presque insoutenable. Elle finit aussi brutalement, mais cette fois-ce pour conduire à un passage plus « heureux », en majeur.
• Cependant ce n’est qu’une brève accalmie et la souffrance, cette fois à son paroxysme, revient avec un « Dona Eis » du chœur déchirant.
• Tout cela pour terminer avec une dernière descente terriblement pesante, juste avant le « Amen » finale, véritable surprise.
• Alors que tant de douleurs et de souffrances ont été exprimées, le « Amen » est un immense cri de libération, laissant penser que tous les voeux et les prières ont été accordés.
• Ce passage donne l’impression d’un chœur marchant lentement, se balançant à trois temps, pleurant la perte d’un proche, et espérant péniblement un miracle. Et c’est bien ce qui se produit : on croirait presque que le requiem est terminé.
• Chez Mozart, bien que seules les huit premières soient de la main du compositeur, ce passage reste le plus dramatique de tout son requiem. C’est ici que le drame, la pesanteur, la douleur et les larmes se combinent à travers la musique.
• Tout le morceau se balance dans un rythme à trois temps, soutenu par les cordes avec leur motif répété. Le chœur quant à lui suit de grandes et lentes évolutions vers le haut comme vers le bas.
• La première est une montée très « légère » et « piquée » au début et donne une impression de douleur froide et tremblante, et qui par la suite s’ouvre complètement et devient beaucoup plus « étalée » pour ensuite s’éteindre subitement et revenir à une tension moins grande.
• La deuxième montée est tout aussi impressionnante avec une puissance et une tension dans la musique qui devient lancinante et presque insoutenable. Elle finit aussi brutalement, mais cette fois-ce pour conduire à un passage plus « heureux », en majeur.
• Cependant ce n’est qu’une brève accalmie et la souffrance, cette fois à son paroxysme, revient avec un « Dona Eis » du chœur déchirant.
• Tout cela pour terminer avec une dernière descente terriblement pesante, juste avant le « Amen » finale, véritable surprise.
• Alors que tant de douleurs et de souffrances ont été exprimées, le « Amen » est un immense cri de libération, laissant penser que tous les voeux et les prières ont été accordés.
• Ce passage donne l’impression d’un chœur marchant lentement, se balançant à trois temps, pleurant la perte d’un proche, et espérant péniblement un miracle. Et c’est bien ce qui se produit : on croirait presque que le requiem est terminé.
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Musique