Présentés comme un folklore américain - dénoncés par toutes les associations de défense des animaux, également aux USA -, les rodéos consistent notamment à chevaucher des équidés ou des taureaux prétendument sauvages, mais en réalité domestiques, que l'on oblige par la douleur à lancer des ruades.
Des hommes leur posent une genre de selle, avec en plus autour du ventre une deuxième sangle ou une corde serrant souvent les testicules de l'animal à laquelle, pour les taureaux, est parfois ajoutée une cloche... Lorsqu'un animal portant un cavalier est envoyé sur la piste, la porte du box est ouverte ; pour l'obliger à sortir, on frappe l'animal de coups divers, y compris avec une tige de fer ou un trident ; au moment où l'animal passe la porte, un homme juché sur un des montants du box tire et serre de toutes ses forces la sangle entourant le ventre du cheval ou du taureau.
Les ruades des animaux sont la conséquence de la douleur provoquée par la sangle qui leur coince l'abdomen (et une partie génitale - le fourreau - pour les animaux mâles), à laquelle s'ajoutent des coups de pied, des coups d'éperon et même des décharges électriques. Quand le cavalier tombe, l'animal continue à ruer et ne s'arrête que lorsque la sangle est détachée (la peau de mouton entourant cette sangle ne sert qu'à éviter quelquefois ou à dissimuler des plaies ouvertes à des animaux utilisés et réutilisés et dont les plaies s'aggravent à chaque spectacle)
Des hommes leur posent une genre de selle, avec en plus autour du ventre une deuxième sangle ou une corde serrant souvent les testicules de l'animal à laquelle, pour les taureaux, est parfois ajoutée une cloche... Lorsqu'un animal portant un cavalier est envoyé sur la piste, la porte du box est ouverte ; pour l'obliger à sortir, on frappe l'animal de coups divers, y compris avec une tige de fer ou un trident ; au moment où l'animal passe la porte, un homme juché sur un des montants du box tire et serre de toutes ses forces la sangle entourant le ventre du cheval ou du taureau.
Les ruades des animaux sont la conséquence de la douleur provoquée par la sangle qui leur coince l'abdomen (et une partie génitale - le fourreau - pour les animaux mâles), à laquelle s'ajoutent des coups de pied, des coups d'éperon et même des décharges électriques. Quand le cavalier tombe, l'animal continue à ruer et ne s'arrête que lorsque la sangle est détachée (la peau de mouton entourant cette sangle ne sert qu'à éviter quelquefois ou à dissimuler des plaies ouvertes à des animaux utilisés et réutilisés et dont les plaies s'aggravent à chaque spectacle)
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