Vidéo réalisée par Pol Le Meur:
Une chanson d'amour où l'eau de roses est distillée avec les épines!
TEXTE DE LA CHANSON
P’TIT BONHEUR
Moi, je craquais des allumettes.
Mettre le feu à ses amours,
Mourir un peu avant de naître,
N’être rien d’autre qu’un secours,
Un tourbillon dans sa mémoire,
Une aventure à contre jour,
Des sentiments, des centimètres,
Et puis les mots qui rendent sourd.
*
REFRAIN
P’tit bonheur, p’tit bonheur,
Dedans la tête,
Qui me tourne, qui me tourne autour.
P’tit bonheur, p’tit bonheur,
Sur la fenêtre,
Qui me joue, qui me joue des tours.
*
Quelques volutes cigarettes,
Des pendules pour faire le tour.
Des étoffes de soie, secrètes,
Des caresses désabusées.
Des « je suis sûr », et des « peut-être »,
Et le rêve de voyager.
Faire des concours et des conquêtes,
Et jeter les fleurs au panier.
REFRAIN
Bien deviner les devinettes,
Avant que le jour soit levé.
Oser les jeux qu’on doit connaître,
Et se rendormir à côté.
Ouvrir le feu sur le mal-être,
Dans ce décor décortiqué.
S’éprendre de l’autre en cachette,
Se reprendre, et le lui donner,
Comme l’on craque une allumette,
Mettre le feu à son passé.
*
REFRAIN
Texte : © Serge Cabon
Une chanson d'amour où l'eau de roses est distillée avec les épines!
TEXTE DE LA CHANSON
P’TIT BONHEUR
Moi, je craquais des allumettes.
Mettre le feu à ses amours,
Mourir un peu avant de naître,
N’être rien d’autre qu’un secours,
Un tourbillon dans sa mémoire,
Une aventure à contre jour,
Des sentiments, des centimètres,
Et puis les mots qui rendent sourd.
*
REFRAIN
P’tit bonheur, p’tit bonheur,
Dedans la tête,
Qui me tourne, qui me tourne autour.
P’tit bonheur, p’tit bonheur,
Sur la fenêtre,
Qui me joue, qui me joue des tours.
*
Quelques volutes cigarettes,
Des pendules pour faire le tour.
Des étoffes de soie, secrètes,
Des caresses désabusées.
Des « je suis sûr », et des « peut-être »,
Et le rêve de voyager.
Faire des concours et des conquêtes,
Et jeter les fleurs au panier.
REFRAIN
Bien deviner les devinettes,
Avant que le jour soit levé.
Oser les jeux qu’on doit connaître,
Et se rendormir à côté.
Ouvrir le feu sur le mal-être,
Dans ce décor décortiqué.
S’éprendre de l’autre en cachette,
Se reprendre, et le lui donner,
Comme l’on craque une allumette,
Mettre le feu à son passé.
*
REFRAIN
Texte : © Serge Cabon
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