Spectacle pour adulte à partir de 14 ans
Il a un peu mal au coeur, trop bu … sans doute le foie, les petites bières ou peut-être le coeur lui même, son pauvre coeur d’ogre, ou bien cette satanée rouille qui inexorablement agit sur toutes choses, sur les poêles, les coeurs et le reste … Enfin, il faut bien se remettre au boulot, aller voir les bons petits gars et les petites filles, siroter quelques verres, regarder les couchers de soleil, se faire des petits gueuletons et puis être méchant du mieux qu’on peut.
Faut bien vivre …
On dit de ce spectacle que, choqué ou enthousiaste, personne n’en sort indifférent.
On dit que Boudu a déjà sa place auprès des grands clowns de l’histoire du cirque.
On parle d’une poésie violente, qui bouscule. On parle d’un clown «à l’état sauvage».
On dit que Bonaventure nous prête pour quelques instants ses yeux de clown
grands ouverts sur le monde et qu’on en ressort changé à jamais.
C’est du grand art, mené par un artiste-acrobate chevronné, doué d’une sensibilité rare.
Avec son sens du dire et du geste, l’art du clown se refait une sacrée jeunesse.
« Par le boudu, c’est le titre de mon spectacle. Comme ça parle de la fin, du bout, du rien, du tout seul, d’avoir une chose un peu qui s’en va, une fuite en avant. Ca fait aussi « Parle Boudu », et Boudu, c’est aussi le nom du personnage, petit clin d’oeil pour le film Boudu sauvé des eaux de Renoir.»
avec l'aimable autorisation du Théâtre Louis Aragon - Scène Conventionnée pour la danse réalisation : Dominique Philiponska)
Il a un peu mal au coeur, trop bu … sans doute le foie, les petites bières ou peut-être le coeur lui même, son pauvre coeur d’ogre, ou bien cette satanée rouille qui inexorablement agit sur toutes choses, sur les poêles, les coeurs et le reste … Enfin, il faut bien se remettre au boulot, aller voir les bons petits gars et les petites filles, siroter quelques verres, regarder les couchers de soleil, se faire des petits gueuletons et puis être méchant du mieux qu’on peut.
Faut bien vivre …
On dit de ce spectacle que, choqué ou enthousiaste, personne n’en sort indifférent.
On dit que Boudu a déjà sa place auprès des grands clowns de l’histoire du cirque.
On parle d’une poésie violente, qui bouscule. On parle d’un clown «à l’état sauvage».
On dit que Bonaventure nous prête pour quelques instants ses yeux de clown
grands ouverts sur le monde et qu’on en ressort changé à jamais.
C’est du grand art, mené par un artiste-acrobate chevronné, doué d’une sensibilité rare.
Avec son sens du dire et du geste, l’art du clown se refait une sacrée jeunesse.
« Par le boudu, c’est le titre de mon spectacle. Comme ça parle de la fin, du bout, du rien, du tout seul, d’avoir une chose un peu qui s’en va, une fuite en avant. Ca fait aussi « Parle Boudu », et Boudu, c’est aussi le nom du personnage, petit clin d’oeil pour le film Boudu sauvé des eaux de Renoir.»
avec l'aimable autorisation du Théâtre Louis Aragon - Scène Conventionnée pour la danse réalisation : Dominique Philiponska)
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Art et design