Exposition de Carlos Castillo au musée archéologique de Dijon.
Carlos Castillo est un artiste d’origine nicaraguayenne accueilli par la Ville de Dijon dans l’un de ses ateliers de création du quartier Heudelet. Installé depuis une vingtaine d’année en Bourgogne, il enseigne par ailleurs à l’Ecole Nationale d’Art de Dijon. Il expose actuellement au Musée archéologique des œuvres évoquant la destruction de la forêt amazonienne.
Ainsi, dans la prestigieuse salle romane de l’ancienne abbaye Saint Bénigne, 50 tableaux représentant l’Amazonie sont posés au sol et se rapprochent au fil des jours pour, à la fin de l’exposition, n’en former qu’un : « Il s’agit de rappeler que la Terre apparemment stable est un trompe-l’œil ». A l’entrée, un compte à rebours et de terribles pulsations égrènent froidement les secondes qui nous séparent de la disparition annoncée du poumon vert de la planète.
En l’absence du Maire de Dijon, retenu à Paris, c’est son adjoint aux affaires culturelles qui a procédé à l’inauguration en présence de Dominique Montigny, conservateur du patrimoine, François-Xavier Dugourd et Christiane Choux. Carlos Castillo a pris la parole pour évoquer son travail avec simplicité, et humilité.
A voir jusqu'au 20 mai. Musée archéologique de Dijon – 5 rue du Docteur Maret – Pour tous renseignements : 03 80 30 88 54.
Carlos Castillo est un artiste d’origine nicaraguayenne accueilli par la Ville de Dijon dans l’un de ses ateliers de création du quartier Heudelet. Installé depuis une vingtaine d’année en Bourgogne, il enseigne par ailleurs à l’Ecole Nationale d’Art de Dijon. Il expose actuellement au Musée archéologique des œuvres évoquant la destruction de la forêt amazonienne.
Ainsi, dans la prestigieuse salle romane de l’ancienne abbaye Saint Bénigne, 50 tableaux représentant l’Amazonie sont posés au sol et se rapprochent au fil des jours pour, à la fin de l’exposition, n’en former qu’un : « Il s’agit de rappeler que la Terre apparemment stable est un trompe-l’œil ». A l’entrée, un compte à rebours et de terribles pulsations égrènent froidement les secondes qui nous séparent de la disparition annoncée du poumon vert de la planète.
En l’absence du Maire de Dijon, retenu à Paris, c’est son adjoint aux affaires culturelles qui a procédé à l’inauguration en présence de Dominique Montigny, conservateur du patrimoine, François-Xavier Dugourd et Christiane Choux. Carlos Castillo a pris la parole pour évoquer son travail avec simplicité, et humilité.
A voir jusqu'au 20 mai. Musée archéologique de Dijon – 5 rue du Docteur Maret – Pour tous renseignements : 03 80 30 88 54.
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