EGYPTE - Episode 3 - Le Secret Des Hiéroglyphes (2/2) [FINAL] [HD]
Partez pour un voyage dans le temps, là où les mystères et les trésors d'Egypte reviennent à la vie après des années cachés dans le sable. Suivez les aventures de réels " Indiana Jones ", intrépides archéologues et explorateurs, qui ont dédiés leurs vies à la découverte de l'Ancienne Egypte. Gloire, Or et Légendes vous attendent ! Toutankhamon, Pharaons, Hiéroglyphes ... tant de mystères levés par Carter, Drovetti ou Champollion !
1798. Savants, linguistes et érudits participent à la campagne d'Egypte de Napoléon. En marge des opérations militaires, ils dessinent, cartographient, fouillent et redécouvrent les splendeurs longtemps oubliées de la civilisation égyptienne antique. Mais les plus grands secrets des pharaons sont enfermés dans l'indéchiffrable écriture hiéroglyphique. Les Français mettent au jour un objet qui va fournir une des clés du mystère : la pierre de Rosette, sur laquelle est gravée une proclamation du pharaon Ptolémée V, rédigée en trois langues : grec, démotique et hiéroglyphique. Sa traduction devra attendre 1822, date à laquelle le jeune linguiste Jean-François Champollion a un éclair de génie qui lui permet de percer le mystère de ces signes.
D'un côté, Thomas Young, riche Anglais. De l'autre, Jean-François Champollion, pauvre et jeune Grenoblois. Tous deux se lancent, au début du XIXe siècle, dans la traduction des hiéroglyphes de la pierre de Rosette, fragment de stèle gravée datant de l'Egypte ancienne. Si Thomas Young peut examiner la pierre originale, découverte par un soldat français lors de la campagne d'Egypte de Bonaparte, mais possession britannique, Jean-François Champollion doit, lui, se contenter d'une simple copie.
Tout d'abord orchestré autour de cette rivalité, ce documentaire-fiction se concentre ensuite sur la personnalité et le travail du jeune Grenoblois. On peut regretter que la petite histoire, notamment les amours contrariées du jeune héros, prenne un peu trop souvent le pas sur la grande histoire. Heureusement, le commentaire parvient à expliquer de façon à la fois simple et intéressante les méthodes employées par les deux savants. En 1822, Champollion démontre que les hiéroglyphes composent une écriture à la fois figurative, symbolique et phonétique. Six ans plus tard, il peut enfin réaliser son rêve ultime : partir pour l'Egypte et découvrir de ses yeux la culture des Pharaons.
http://www.dailymotion.com/playlist/x3ivmo_GayoAwWw3_egypte
1798. Savants, linguistes et érudits participent à la campagne d'Egypte de Napoléon. En marge des opérations militaires, ils dessinent, cartographient, fouillent et redécouvrent les splendeurs longtemps oubliées de la civilisation égyptienne antique. Mais les plus grands secrets des pharaons sont enfermés dans l'indéchiffrable écriture hiéroglyphique. Les Français mettent au jour un objet qui va fournir une des clés du mystère : la pierre de Rosette, sur laquelle est gravée une proclamation du pharaon Ptolémée V, rédigée en trois langues : grec, démotique et hiéroglyphique. Sa traduction devra attendre 1822, date à laquelle le jeune linguiste Jean-François Champollion a un éclair de génie qui lui permet de percer le mystère de ces signes.
D'un côté, Thomas Young, riche Anglais. De l'autre, Jean-François Champollion, pauvre et jeune Grenoblois. Tous deux se lancent, au début du XIXe siècle, dans la traduction des hiéroglyphes de la pierre de Rosette, fragment de stèle gravée datant de l'Egypte ancienne. Si Thomas Young peut examiner la pierre originale, découverte par un soldat français lors de la campagne d'Egypte de Bonaparte, mais possession britannique, Jean-François Champollion doit, lui, se contenter d'une simple copie.
Tout d'abord orchestré autour de cette rivalité, ce documentaire-fiction se concentre ensuite sur la personnalité et le travail du jeune Grenoblois. On peut regretter que la petite histoire, notamment les amours contrariées du jeune héros, prenne un peu trop souvent le pas sur la grande histoire. Heureusement, le commentaire parvient à expliquer de façon à la fois simple et intéressante les méthodes employées par les deux savants. En 1822, Champollion démontre que les hiéroglyphes composent une écriture à la fois figurative, symbolique et phonétique. Six ans plus tard, il peut enfin réaliser son rêve ultime : partir pour l'Egypte et découvrir de ses yeux la culture des Pharaons.
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