Jacques Brel - Ne Me Quitte Pas
La chanson est écrite après la séparation de Brel et de Suzanne Gabriello1. Elle est co-composée avec son pianiste accompagnateur de concert Gérard Jouannest, bien que celui-ci n'en ait jamais été crédité, n'étant à l'époque pas encore inscrit à la Sacem 2. Elle est ensuite arrangée par François Rauber et enregistrée par Brel le 14 septembre 1959.
Jacques Brel affirmera lors d'une interview que cette chanson n'est pas une chanson d'amour, contrairement à la perception commune que le public s'en fait, mais « un hymne à la lâcheté des hommes. C’est jusqu’où un homme peut s’humilier. Je sais qu’évidemment ça peut faire plaisir aux femmes qui en déduisent, assez rapidement semble-t-il, que c’est une chanson d’amour. Et ça les réconforte ; et je comprends bien ça… »3. Édith Piaf disait de cette chanson : « Un homme ne devrait pas chanter des trucs comme ça ! »
Marc Robine, dans sa biographie Grand Jacques, le roman de Jacques Brel, cite deux auteurs qui ont pu influencer Brel pour l'image du chien : Dostoïevski dans sa nouvelle La Douce et Garcia Lorca dans son Sonnetto del dolce pianto (Sonnet de la douce plainte)1.
Une partie de la chanson reprend un thème de la sixième rhapsodie hongroise de Franz Liszt.
Cette chanson a connu plusieurs versions studio :
La première version est enregistrée en 1959. Sylvette Allart y joue des ondes Martenot.
En 1961, Brel enregistre une version en néerlandais, intitulée Laat me niet alleen.
Le 20 juin 1972, il réenregistre une nouvelle version, pour l'album qui propose de nouveaux enregistrements des plus célèbres chansons de sa période pré-Barclay (ce disque est communément nommé Ne me quitte pas).
La chanson est écrite après la séparation de Brel et de Suzanne Gabriello1. Elle est co-composée avec son pianiste accompagnateur de concert Gérard Jouannest, bien que celui-ci n'en ait jamais été crédité, n'étant à l'époque pas encore inscrit à la Sacem 2. Elle est ensuite arrangée par François Rauber et enregistrée par Brel le 14 septembre 1959.
Jacques Brel affirmera lors d'une interview que cette chanson n'est pas une chanson d'amour, contrairement à la perception commune que le public s'en fait, mais « un hymne à la lâcheté des hommes. C’est jusqu’où un homme peut s’humilier. Je sais qu’évidemment ça peut faire plaisir aux femmes qui en déduisent, assez rapidement semble-t-il, que c’est une chanson d’amour. Et ça les réconforte ; et je comprends bien ça… »3. Édith Piaf disait de cette chanson : « Un homme ne devrait pas chanter des trucs comme ça ! »
Marc Robine, dans sa biographie Grand Jacques, le roman de Jacques Brel, cite deux auteurs qui ont pu influencer Brel pour l'image du chien : Dostoïevski dans sa nouvelle La Douce et Garcia Lorca dans son Sonnetto del dolce pianto (Sonnet de la douce plainte)1.
Une partie de la chanson reprend un thème de la sixième rhapsodie hongroise de Franz Liszt.
Cette chanson a connu plusieurs versions studio :
La première version est enregistrée en 1959. Sylvette Allart y joue des ondes Martenot.
En 1961, Brel enregistre une version en néerlandais, intitulée Laat me niet alleen.
Le 20 juin 1972, il réenregistre une nouvelle version, pour l'album qui propose de nouveaux enregistrements des plus célèbres chansons de sa période pré-Barclay (ce disque est communément nommé Ne me quitte pas).
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Musique