Les royalistes restent novateurs dans le domaine social. Ils ne sont pas restreint par une vue idéologique comme les partis de gauche. Ils savent par expérience et connaissance historique que seule la monarchie peu tempérer une certaine forme de libéralisme et de socialisme dans l’autonomie du monde du travail et la justice sociale. La gauche n’a rien inventé, elle a recopié et appliqué les lois sociales royalistes, qu’elle avait depuis la Révolution refusé aux ouvriers. Il suffit pour s’en convaincre, d’éplucher les archives comme nous l’avons fait et mettre sous les yeux du public les mensonges de l’histoire officielle.
Les maux dont nous souffrons restent principalement les mêmes dénoncés depuis des décennies.
- Crise économique et faillite du libéralisme avec ses conséquences
- une population salariale restant sans protection professionnelle comme les avocats et médecins qui, eux possèdent la propriété du métier.
- un nouvel esclavage avec les délocalisations où les individus peuvent être mis en concurrence avec d’autres dans des pays « sous-développés » et perdre travail et situation
- un certain patronat libéral sans foi ni loi, exporte ses entreprises à l’autre bout du monde, la main sur le cœur et parlant de république des droits de l’homme mais acceptant pour plus de profit, le déplacement de ses capitaux en mettant en faillite des familles entières de salariés…
- un Etat ayant perdu toute indépendance politique face à l’économique, devenu un satellite de l’Europe décidant de la vie ou de la mort de pan entier de son économie : agriculture, pêche, industrie au profit d’autres pays.
- un syndicalisme ne représentant plus le monde du travail mais la politique et dont les adhésions fondent comme neige au soleil
- Un Etat sacrifiant son peuple en acceptant que la misère du monde vienne s’implanter ici.
- une politique suicidaire en matière de démographie, un Etat ripoux-blicain surendetté dans une marche vers l’abîme et le néant
La plupart des lois sociales instituées, Conseil économique et sociale, sécurité sociale, participation, loi des 8 heures…n’ont pas l’étendue réelle et l’autonomie dont les royalistes rêvaient qu’elles puissent avoir dans un véritable pays libre. Ces lois furent limitées par le système républicain les restreignant pour en garder le contrôle, comme pour la décentralisation. Alors même si toutes les formes de gouvernements possèdent leurs contraintes, il reste des gouvernements destructeurs par essence et d'autres dont les bases restent humanistes. Retrouvons les racines de l'arbre de vie d'où notre France fut le fruit et Libérons nous…
Les maux dont nous souffrons restent principalement les mêmes dénoncés depuis des décennies.
- Crise économique et faillite du libéralisme avec ses conséquences
- une population salariale restant sans protection professionnelle comme les avocats et médecins qui, eux possèdent la propriété du métier.
- un nouvel esclavage avec les délocalisations où les individus peuvent être mis en concurrence avec d’autres dans des pays « sous-développés » et perdre travail et situation
- un certain patronat libéral sans foi ni loi, exporte ses entreprises à l’autre bout du monde, la main sur le cœur et parlant de république des droits de l’homme mais acceptant pour plus de profit, le déplacement de ses capitaux en mettant en faillite des familles entières de salariés…
- un Etat ayant perdu toute indépendance politique face à l’économique, devenu un satellite de l’Europe décidant de la vie ou de la mort de pan entier de son économie : agriculture, pêche, industrie au profit d’autres pays.
- un syndicalisme ne représentant plus le monde du travail mais la politique et dont les adhésions fondent comme neige au soleil
- Un Etat sacrifiant son peuple en acceptant que la misère du monde vienne s’implanter ici.
- une politique suicidaire en matière de démographie, un Etat ripoux-blicain surendetté dans une marche vers l’abîme et le néant
La plupart des lois sociales instituées, Conseil économique et sociale, sécurité sociale, participation, loi des 8 heures…n’ont pas l’étendue réelle et l’autonomie dont les royalistes rêvaient qu’elles puissent avoir dans un véritable pays libre. Ces lois furent limitées par le système républicain les restreignant pour en garder le contrôle, comme pour la décentralisation. Alors même si toutes les formes de gouvernements possèdent leurs contraintes, il reste des gouvernements destructeurs par essence et d'autres dont les bases restent humanistes. Retrouvons les racines de l'arbre de vie d'où notre France fut le fruit et Libérons nous…
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Éducation