A Bodrum en Turquie, des dizaines de migrants attendent pour embarquer sur des bateaux gonflables. Objectif : l'île de Kos à quelques kilomètres de là, porte d'entrée de l'Union européenne.
Sur quelque 7 000 migrants présents à Kos en début de semaine, 2 500 seraient encore en attente de documents administratifs, selon la police grecque. Les arrivées se poursuivent néanmoins chaque nuit à un rythme soutenu depuis la Turquie voisine. Syriens, Afghans, Irakiens, Pakistanais, Somaliens ou Erythréens forment des files d’attentes interminables.
Dimanche, les autorités grecques ont dépêché le ferry Eleftherios Venizelos pour accélérer les procédures d’enregistrement des migrants et faire baisser la tension générée par le flux croissant de migrants.
Sur quelque 7 000 migrants présents à Kos en début de semaine, 2 500 seraient encore en attente de documents administratifs, selon la police grecque. Les arrivées se poursuivent néanmoins chaque nuit à un rythme soutenu depuis la Turquie voisine. Syriens, Afghans, Irakiens, Pakistanais, Somaliens ou Erythréens forment des files d’attentes interminables.
Dimanche, les autorités grecques ont dépêché le ferry Eleftherios Venizelos pour accélérer les procédures d’enregistrement des migrants et faire baisser la tension générée par le flux croissant de migrants.
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