Chaque année, environ 250 000 wagons de marchandises transitent par la gare de triage de Drancy (93), principal site du fret ferroviaire francilien.
Une activité industrielle intense qui provoquent des nuisances pour les nombreux riverains de la zone (près de 30 000 habitants dans un rayon de 620 m autour de la gare, à cheval sur les communes de Drancy, Le Blanc-Mesnil et Le Bourget).
La ville de Drancy, par l'intermédiaire de son député-maire (UDI) Jean-Christophe Lagarde, a alerté à plusieurs reprises l'entreprise de transport. « Des solutions techniques existent, elles sont appliquées dans tous les autres pays », assure-t-on à la mairie. L'association Bruitparif a pris le relais de la mobilisation, en installant le mois dernier une station de mesure permanente du bruit, à côté des voies de chemin de fer. Cette sonde d'environ 10 000 € permettra de « mesurer les évolutions du bruit sur le long terme et de prendre les mesures nécessaires », indique Matthieu Sineau, de chez Bruitparif. L'association avait déjà fait une mesure ponctuelle, sur 24 heures, en 2007. Elle avait noté le niveau sonore « très important » du freinage des trains (83 dB) et des crissements « stridents et gênants pour les riverains, car chargés en haute fréquence ».
Retrouvez l'info en temps réel avec Le Parisien : >> http://www.leparisien.fr/#xtor=AL-1481423430
Une activité industrielle intense qui provoquent des nuisances pour les nombreux riverains de la zone (près de 30 000 habitants dans un rayon de 620 m autour de la gare, à cheval sur les communes de Drancy, Le Blanc-Mesnil et Le Bourget).
La ville de Drancy, par l'intermédiaire de son député-maire (UDI) Jean-Christophe Lagarde, a alerté à plusieurs reprises l'entreprise de transport. « Des solutions techniques existent, elles sont appliquées dans tous les autres pays », assure-t-on à la mairie. L'association Bruitparif a pris le relais de la mobilisation, en installant le mois dernier une station de mesure permanente du bruit, à côté des voies de chemin de fer. Cette sonde d'environ 10 000 € permettra de « mesurer les évolutions du bruit sur le long terme et de prendre les mesures nécessaires », indique Matthieu Sineau, de chez Bruitparif. L'association avait déjà fait une mesure ponctuelle, sur 24 heures, en 2007. Elle avait noté le niveau sonore « très important » du freinage des trains (83 dB) et des crissements « stridents et gênants pour les riverains, car chargés en haute fréquence ».
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