Bernard Cazeneuve a réagi avec force mardi, lors de la séance des questions au gouvernement, aux accusations du député Les Républicains du Rhône, Philippe Cochet. Ce dernier venait d’évoquer la "faute grave" de l’État en laissant se dérouler dimanche une "manifestation interdite" place de République.
Cette dernière a été débordée par des casseurs, qui ont notamment vandalisé le mémorial en hommage aux victimes des attentats du 13 novembre. 317 personnes ont été placées en garde à vue. "L’abject a eu lieu", a assuré le député, estimant "l’Etat défaillant".
Cazeneuve élève la voix : "Nous avons été fermes"
"L’autorité, l’outrance, l’énervement ne sont pas des notions qui se superposent les unes aux autres", a répondu le ministre de l’Intérieur, visiblement très agacé.
Si les manifestations sont interdites
Cette dernière a été débordée par des casseurs, qui ont notamment vandalisé le mémorial en hommage aux victimes des attentats du 13 novembre. 317 personnes ont été placées en garde à vue. "L’abject a eu lieu", a assuré le député, estimant "l’Etat défaillant".
Cazeneuve élève la voix : "Nous avons été fermes"
"L’autorité, l’outrance, l’énervement ne sont pas des notions qui se superposent les unes aux autres", a répondu le ministre de l’Intérieur, visiblement très agacé.
Si les manifestations sont interdites
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