Six jours après les faits la tension ne redescend pas à Cologne. L'extrême droite impute aux réfugiés les multiples agressions sexuelles qui ont eu lieu la nuit du Nouvel An près de la gare. La police n'a quant à elle pas confirmé la présence de réfugiés parmi les assaillants. "L'unité de l'Allemagne ne doit pas être remise en question, ce serait la pire des conséquences que pourraient avoir les rassemblements orchestrés par l'extrême droite", estime la députée (Verts) de Cologne Andrea Asch.
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