Film de Christian de Chalonge (1990). Musique : Michel Portal.
L’histoire du plus terrible tueur en série de l’histoire criminelle française. En 1941, le docteur Marcel Petiot, psychopathe, voleur, escroc, installe un cabinet dans un hôtel particulier de la rue Le Sueur, à Paris. Des dizaines de malheureux tentant d’échapper à la Gestapo vont y défiler, juifs pour la plupart, à qui il promet un passage sûr en Argentine. En fait, il les enferme dans une pièce close après leur avoir administré un narcotique et les tue au gaz. Puis il découpe les corps, les brûle et récupère l’argent et les objets précieux. Découvert en mars 1944, il fuit et parvient à entrer dans la Résistance à l'aide de faux papiers. Il est démasqué six mois plus tard. On l’accuse de vingt-sept meurtres, prouvés grâce aux valises récupérées, mais il en revendique une soixantaine, en tentant de faire croire qu’il s’agit d’Allemands et de collaborateurs. On s’accorde aujourd’hui à lui attribuer cent quarante victimes, dont au moins un enfant. Petiot est condamné à mort et guillotiné le 25 mai 1946, à 49 ans.
Michel Serrault est inégalable dans ce rôle de médecin halluciné, criminel et cupide mais bon père de famille, qui agit méthodiquement, avec intelligence, audace et sang froid. De plus, le maquillage a permis d’obtenir une ressemblance étonnante avec le modèle.
Cette séquence : Petiot assassine sa dernière victime, un résistant juif qui s’est évadé du camp de Compiègne (Pierre Romans). En son absence, le conduit de cheminée du calorifère s’embrase, les pompiers et la police découvrent les restes humains attendant d’être incinérés (l’un des deux agents est Olivier Saladin, qui se fera connaître dans l’équipe des Deschiens).
Voir l'extrait d'actualité du procès Petiot, mis en ligne par Dictys :
http://www.dailymotion.com/related/x3rhil_docteur-petiot-michel-serrault_shortfilms/video/x4xwd3_le-proces-du-docteur-petiot-1946_news?from=rss
L’histoire du plus terrible tueur en série de l’histoire criminelle française. En 1941, le docteur Marcel Petiot, psychopathe, voleur, escroc, installe un cabinet dans un hôtel particulier de la rue Le Sueur, à Paris. Des dizaines de malheureux tentant d’échapper à la Gestapo vont y défiler, juifs pour la plupart, à qui il promet un passage sûr en Argentine. En fait, il les enferme dans une pièce close après leur avoir administré un narcotique et les tue au gaz. Puis il découpe les corps, les brûle et récupère l’argent et les objets précieux. Découvert en mars 1944, il fuit et parvient à entrer dans la Résistance à l'aide de faux papiers. Il est démasqué six mois plus tard. On l’accuse de vingt-sept meurtres, prouvés grâce aux valises récupérées, mais il en revendique une soixantaine, en tentant de faire croire qu’il s’agit d’Allemands et de collaborateurs. On s’accorde aujourd’hui à lui attribuer cent quarante victimes, dont au moins un enfant. Petiot est condamné à mort et guillotiné le 25 mai 1946, à 49 ans.
Michel Serrault est inégalable dans ce rôle de médecin halluciné, criminel et cupide mais bon père de famille, qui agit méthodiquement, avec intelligence, audace et sang froid. De plus, le maquillage a permis d’obtenir une ressemblance étonnante avec le modèle.
Cette séquence : Petiot assassine sa dernière victime, un résistant juif qui s’est évadé du camp de Compiègne (Pierre Romans). En son absence, le conduit de cheminée du calorifère s’embrase, les pompiers et la police découvrent les restes humains attendant d’être incinérés (l’un des deux agents est Olivier Saladin, qui se fera connaître dans l’équipe des Deschiens).
Voir l'extrait d'actualité du procès Petiot, mis en ligne par Dictys :
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