Pompéi, la cité ensevelie par le Vésuve en 79 après J.-C., déchaîne toujours autant les passions. Les corps pétrifiés révèlent de nouveaux secrets et notamment grâce à des analyses approfondies au scanner.
Quiconque a déjà parcouru à Pompéi "Le Jardin des Fugitifs" aura été impressionné par ces corps emprisonnés dans les coulées de l'éruption du Vésuve il y a un peu moins de 2000 ans. On y voit une femme protégeant son enfant, un homme couché face contre terre, un autre recroquevillé se protégeant le visage ou encore, un chien les quatre pattes en l'air, se tordant vraisemblablement de douleur.
Ces visions très précises des habitants de la cité anéantie par les coulées de lave du Vésuve sont le fruit d'une ingénieuse méthode de moulage découverte à la fin du 19e siècle par Giuseppe Fiorelli (1823-1896). Celui qui fut l'inspecteur des fouilles du site archéologique eut l'idée de verser du plâtre liquide dans les cavités autour des corps enfouis dans les cendres. Il obtint de cette manière la reconstitution presque parfaite des victimes dans leurs derniers moments, mais aussi une idée des plus réalistes de leurs vêtements et chaussures.
Aujourd'hui encore, les scientifiques s'attellent à faire parler ces corps pétrifiés - 1150, au total - de femmes, d'hommes et d'enfants grâce notamment au scanner et à d'autres techniques médicales de pointe. Et les résultats sont pour le moins spectaculaires. Ils ont ainsi découvert que les habitants de Pompéi avaient des dents très saines, signe d'une alimentation riche en fruits et légumes, et de la présence de fluor en quantité dans l'eau potable. Grâce à ces techniques d'imagerie, mais aussi de médecine légale, les chercheurs ont aussi pu déterminer l'âge, le sexe, les maladies et même la classe sociale des victimes, explique francetvinfo.fr, qui diffuse un reportage passionnant sur leurs découvertes :
Quiconque a déjà parcouru à Pompéi "Le Jardin des Fugitifs" aura été impressionné par ces corps emprisonnés dans les coulées de l'éruption du Vésuve il y a un peu moins de 2000 ans. On y voit une femme protégeant son enfant, un homme couché face contre terre, un autre recroquevillé se protégeant le visage ou encore, un chien les quatre pattes en l'air, se tordant vraisemblablement de douleur.
Ces visions très précises des habitants de la cité anéantie par les coulées de lave du Vésuve sont le fruit d'une ingénieuse méthode de moulage découverte à la fin du 19e siècle par Giuseppe Fiorelli (1823-1896). Celui qui fut l'inspecteur des fouilles du site archéologique eut l'idée de verser du plâtre liquide dans les cavités autour des corps enfouis dans les cendres. Il obtint de cette manière la reconstitution presque parfaite des victimes dans leurs derniers moments, mais aussi une idée des plus réalistes de leurs vêtements et chaussures.
Aujourd'hui encore, les scientifiques s'attellent à faire parler ces corps pétrifiés - 1150, au total - de femmes, d'hommes et d'enfants grâce notamment au scanner et à d'autres techniques médicales de pointe. Et les résultats sont pour le moins spectaculaires. Ils ont ainsi découvert que les habitants de Pompéi avaient des dents très saines, signe d'une alimentation riche en fruits et légumes, et de la présence de fluor en quantité dans l'eau potable. Grâce à ces techniques d'imagerie, mais aussi de médecine légale, les chercheurs ont aussi pu déterminer l'âge, le sexe, les maladies et même la classe sociale des victimes, explique francetvinfo.fr, qui diffuse un reportage passionnant sur leurs découvertes :
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