Best of 3ème émission d' ARRET SUR IMAGES Fabius Dumay
Laurent Fabius, invité d'@rrêt sur images
"Avec Sarkozy, les journalistes deviennent des suiveurs"
Pourquoi les hommes politiques s'intéressent-ils au fonctionnement des médias ? Parce qu'ils craignent que ce médias ne les écoutent pas, ou pas assez. C'est peut-être ce qui a poussé Laurent Fabius à lancer sa pétition pour que le temps de parole de Nicolas Sarkozy soit décompté - et limité - par le CSA.
Sa proposition sous le bras, le socialiste s'est prêté au jeu de nos émissions SDF sans vraiment savoir ce qu'était @rrêt sur images... avant de s'émerveiller de pouvoir placer « un verbe, un sujet et un complément » dans ses phrases sans se faire rabrouer par un fanatique du chronomètre.
"12% de rentabilité, pour un journal, c'est une aberration"
Viva la muerte, au Monde ? Dumay parle.
Le Monde ? Aujourd'hui, c'est un journal sans direction, un administrateur judiciaire à l'horizon, et une lutte à mort entre les journalistes, qui ont obtenu la tête de l'ancien directeur Jean-Marie Colombani en juin dernier, et le conseiller officieux de Sarkozy Alain Minc, dernier survivant de l'ancienne direction, Minc-Colombani-Plenel.
Sous la houlette de Minc, les actionnaires extérieurs veulent-ils simplement rendre Le Monde rentable, ou le livrer à Lagardère ?
Sur notre plateau, Jean-Michel Dumay, président de la Société des rédacteurs du quotidien, au cœur de la tourmente, revient sur les racines et les épisodes de la crise.
« Puissances d'argent », « plan machiavelique », « saborder le journal », « collaborer avec le capital » : le moins que l'on puisse dire, c'est que Dumay parle comme peu de journalistes osent encore parler aujourd'hui. L'écouter, c'est prendre la mesure de l'atypisme qui est, aujourd'hui encore, celui du Monde.
Les journalistes du Monde jouent-ils à Viva la muerte ? C'est évidemment moins simple.
"Avec Sarkozy, les journalistes deviennent des suiveurs"
Pourquoi les hommes politiques s'intéressent-ils au fonctionnement des médias ? Parce qu'ils craignent que ce médias ne les écoutent pas, ou pas assez. C'est peut-être ce qui a poussé Laurent Fabius à lancer sa pétition pour que le temps de parole de Nicolas Sarkozy soit décompté - et limité - par le CSA.
Sa proposition sous le bras, le socialiste s'est prêté au jeu de nos émissions SDF sans vraiment savoir ce qu'était @rrêt sur images... avant de s'émerveiller de pouvoir placer « un verbe, un sujet et un complément » dans ses phrases sans se faire rabrouer par un fanatique du chronomètre.
"12% de rentabilité, pour un journal, c'est une aberration"
Viva la muerte, au Monde ? Dumay parle.
Le Monde ? Aujourd'hui, c'est un journal sans direction, un administrateur judiciaire à l'horizon, et une lutte à mort entre les journalistes, qui ont obtenu la tête de l'ancien directeur Jean-Marie Colombani en juin dernier, et le conseiller officieux de Sarkozy Alain Minc, dernier survivant de l'ancienne direction, Minc-Colombani-Plenel.
Sous la houlette de Minc, les actionnaires extérieurs veulent-ils simplement rendre Le Monde rentable, ou le livrer à Lagardère ?
Sur notre plateau, Jean-Michel Dumay, président de la Société des rédacteurs du quotidien, au cœur de la tourmente, revient sur les racines et les épisodes de la crise.
« Puissances d'argent », « plan machiavelique », « saborder le journal », « collaborer avec le capital » : le moins que l'on puisse dire, c'est que Dumay parle comme peu de journalistes osent encore parler aujourd'hui. L'écouter, c'est prendre la mesure de l'atypisme qui est, aujourd'hui encore, celui du Monde.
Les journalistes du Monde jouent-ils à Viva la muerte ? C'est évidemment moins simple.
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