LES CAMPEMENTS VEZO
s'éparpillent entre dunes et lagunes sur plus de 600 kilomètres de côtes, au sud-ouest de Madagascar.
Ces nomades de la mer migrent aujourd'hui entre leurs minuscules villages et de furtifs bancs de sable isolés au large de l'océan Indien.
Les Vezo ont su garder leur culture et une cosmogonie exceptionnelle.
Ils se déplacent en poursuivant les bancs de poissons et vivent avec la mer une relation mystique. Qu'il soit jeune ou vieux, pêcheur nomade
ou apprenti sur un chalutier, un Vezo ne chantera pas, de peur que ses dents ne s'allongent ; il n'emportera jamais avec lui d'oranges ou de citrons,
sous peine de voir son bétail dépérir.
Mais, surtout, il ne volera jamais un poisson, car la lèpre exterminerait toute sa famille.
Si la mer est mauvaise et que le poisson n'est pas au rendez-vous,
c'est sans doute parce que l'un de ces fady n'a pas été respecté.
Chez les Vezo, la vie est un apprentissage de la mort ; la place occupée par les ancêtres et les liens à entretenir avec les esprits sont fondamentaux.
Le Topondrano, gardien des eaux, y veille.
Toutes les cérémonies tournent autour de la mer.
Lors des célébrations, on imite le vol de la mouette, alors que certains officiants
entrent en transe et sont possédés par l'esprit de Vorombe, le dieu oiseau.
C’est à la fin de ce rassemblement que les marins et leurs familles partent en flottille pour les camps de pêche.
Ils s'installent, parfois plusieurs mois, sur une petite île ou dans un coin éloigné de la côte sauvage.
Les femmes font sécher le poisson pendant que les enfants, libres comme
le vent, jouent avec des pirogues en modèle réduit qu'ils se sont fabriquées.
Le DVD complet en vente
http://www4.fnac.com/Shelf/article.aspx?PRID=2011973&OrderInSession=1&Mn=2&SID=c37847c1-0cc7-28b6-0185-0d52d7ed9e84&TTL=210720081048&Origin=fnac
s'éparpillent entre dunes et lagunes sur plus de 600 kilomètres de côtes, au sud-ouest de Madagascar.
Ces nomades de la mer migrent aujourd'hui entre leurs minuscules villages et de furtifs bancs de sable isolés au large de l'océan Indien.
Les Vezo ont su garder leur culture et une cosmogonie exceptionnelle.
Ils se déplacent en poursuivant les bancs de poissons et vivent avec la mer une relation mystique. Qu'il soit jeune ou vieux, pêcheur nomade
ou apprenti sur un chalutier, un Vezo ne chantera pas, de peur que ses dents ne s'allongent ; il n'emportera jamais avec lui d'oranges ou de citrons,
sous peine de voir son bétail dépérir.
Mais, surtout, il ne volera jamais un poisson, car la lèpre exterminerait toute sa famille.
Si la mer est mauvaise et que le poisson n'est pas au rendez-vous,
c'est sans doute parce que l'un de ces fady n'a pas été respecté.
Chez les Vezo, la vie est un apprentissage de la mort ; la place occupée par les ancêtres et les liens à entretenir avec les esprits sont fondamentaux.
Le Topondrano, gardien des eaux, y veille.
Toutes les cérémonies tournent autour de la mer.
Lors des célébrations, on imite le vol de la mouette, alors que certains officiants
entrent en transe et sont possédés par l'esprit de Vorombe, le dieu oiseau.
C’est à la fin de ce rassemblement que les marins et leurs familles partent en flottille pour les camps de pêche.
Ils s'installent, parfois plusieurs mois, sur une petite île ou dans un coin éloigné de la côte sauvage.
Les femmes font sécher le poisson pendant que les enfants, libres comme
le vent, jouent avec des pirogues en modèle réduit qu'ils se sont fabriquées.
Le DVD complet en vente
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