L’histoire de Susannah Cahalan n’est pas le scénario d’un film, mais ce par quoi elle réellement du passer. Il est difficile de croire ce que cette jeune femme de 24 ans a traversé pour enfin être correctement soignée.
Bien portante, engagée en tant que journaliste au New York Post et en relation amoureuse depuis près de 6 mois, Susannah croque la vie à pleines dents !
Mais son état se détériore à petit feu. Tout commence le jour où elle s’imagine avoir des punaises dans son lit et appelle une agence pour s’en débarrasser. Mais l’agent lui confirme qu’il n’y a rien. Ensuite elle devient léthargique, s’absente du travail, s’isole…
Puis commencent les crises de paranoïa et les hallucinations.
Susannah n’en n’est pas à la fin de son supplice ! Elle sera même contrainte à se faire hospitaliser dans un hôpital psychiatrique à cause de son agressivité et de ses crises répétées… A ce stade, la jeune femme aura dépensé une fortune dans les différentes analyses et radios pour diagnostiquer son mal. Mais rien n’y fait, la régression continue et le pronostic est effrayant.
Quand par miracle Susannah se fait traiter pour la première fois par le docteur Souhel Najjar !
Le docteur Najjar laisse de côté analyses et radiographies et demande simplement à sa patiente de lui dessiner une horloge.
Elle dessine tous les chiffres du côté droit de l’horloge…
Ce dessin très révélateur lui permet d’appuyer ses soupçons : Une lésion cérébrale. Ce qui ronge la malade n’est pas psychologique, mais physique !
C’est une maladie due à une déficience du système immunitaire dont les anticorps attaquent les récepteurs de la NMDA dans le cerveau ! L’encéphalite à anticorps anti-récepteurs NMDA aurait conduit Susannah Cahalan au coma et même à la tombe, si elle n’avait pas été diagnostiquée à temps.
Et grâce au docteur, après un mois d’hospitalisation, la journaliste a repris du poil de la bête. Elle reprend sa vie et son esprit en main. Bien qu’elle ne se rappelle pratiquement de rien, cette expérience l’a profondément marquée et lui a fait comprendre l’importance d’aider les autres:
“Je ne me rappelle littéralement pas des moments que j’ai pu passés pendant un mois à l’hôpital. Je dois me fier aux rapports médicaux, aux entretiens avec les médecins, je dois discuter avec ma famille et mon petit ami. Je dois recréer ce temps en utilisant mes compétences journalistiques
Bien portante, engagée en tant que journaliste au New York Post et en relation amoureuse depuis près de 6 mois, Susannah croque la vie à pleines dents !
Mais son état se détériore à petit feu. Tout commence le jour où elle s’imagine avoir des punaises dans son lit et appelle une agence pour s’en débarrasser. Mais l’agent lui confirme qu’il n’y a rien. Ensuite elle devient léthargique, s’absente du travail, s’isole…
Puis commencent les crises de paranoïa et les hallucinations.
Susannah n’en n’est pas à la fin de son supplice ! Elle sera même contrainte à se faire hospitaliser dans un hôpital psychiatrique à cause de son agressivité et de ses crises répétées… A ce stade, la jeune femme aura dépensé une fortune dans les différentes analyses et radios pour diagnostiquer son mal. Mais rien n’y fait, la régression continue et le pronostic est effrayant.
Quand par miracle Susannah se fait traiter pour la première fois par le docteur Souhel Najjar !
Le docteur Najjar laisse de côté analyses et radiographies et demande simplement à sa patiente de lui dessiner une horloge.
Elle dessine tous les chiffres du côté droit de l’horloge…
Ce dessin très révélateur lui permet d’appuyer ses soupçons : Une lésion cérébrale. Ce qui ronge la malade n’est pas psychologique, mais physique !
C’est une maladie due à une déficience du système immunitaire dont les anticorps attaquent les récepteurs de la NMDA dans le cerveau ! L’encéphalite à anticorps anti-récepteurs NMDA aurait conduit Susannah Cahalan au coma et même à la tombe, si elle n’avait pas été diagnostiquée à temps.
Et grâce au docteur, après un mois d’hospitalisation, la journaliste a repris du poil de la bête. Elle reprend sa vie et son esprit en main. Bien qu’elle ne se rappelle pratiquement de rien, cette expérience l’a profondément marquée et lui a fait comprendre l’importance d’aider les autres:
“Je ne me rappelle littéralement pas des moments que j’ai pu passés pendant un mois à l’hôpital. Je dois me fier aux rapports médicaux, aux entretiens avec les médecins, je dois discuter avec ma famille et mon petit ami. Je dois recréer ce temps en utilisant mes compétences journalistiques
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