Ni les débatteurs, ni les journalistes ne sont en cause, mais le débat d'hier soir sur TF1, que beaucoup attendaient avec impatience, s'est révélé soporifique.
Ce n'était d'ailleurs pas vraiment un débat mais une succession de courts monologues comme le voulaient les règles qui avaient été imposées et validées par les Républicains.
Les organisateurs ont opté pour un système de questions-réponses ultra-courtes et très précises afin de rythmer les débats.
Chacun disposait d'abord d'une minute pour parler de lui et se présenter aux téléspectateurs.
Pour gérer le temps de parole, les candidats étaient aidés d'un voyant lumineux qui s'allume à la 50e seconde.
Les candidats pouvaient également s'interpeller à condition de ne pas dépasser 30 secondes.
La première partie de la soirée a donc été sans aucun doute la pire, avec des chiffres que chacun balançait sans avoir la moindre contradiction.
Il a fallut attendre la dernière heure pour voir enfin une esquisse de débat sur les affaires judiciaires et les mises en examen de chacun.
Ce n'était d'ailleurs pas vraiment un débat mais une succession de courts monologues comme le voulaient les règles qui avaient été imposées et validées par les Républicains.
Les organisateurs ont opté pour un système de questions-réponses ultra-courtes et très précises afin de rythmer les débats.
Chacun disposait d'abord d'une minute pour parler de lui et se présenter aux téléspectateurs.
Pour gérer le temps de parole, les candidats étaient aidés d'un voyant lumineux qui s'allume à la 50e seconde.
Les candidats pouvaient également s'interpeller à condition de ne pas dépasser 30 secondes.
La première partie de la soirée a donc été sans aucun doute la pire, avec des chiffres que chacun balançait sans avoir la moindre contradiction.
Il a fallut attendre la dernière heure pour voir enfin une esquisse de débat sur les affaires judiciaires et les mises en examen de chacun.
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