C’est la première fois depuis 1996 que les Moldaves élisent leur président au suffrage universel.
En mars dernier, la Cour constitutionnelle a abrogé la réforme qui avait mené l‘élection du Président par le Parlement de cette ancienne république soviétique qui est indépendante depuis 1991.
Le candidat pro-russe Igor Dodon est le favori des sondages du premier tour de l‘élection.
Il a 41 ans, il a occupé le poste de ministre de l‘Économie dans un gouvernement communiste, il veut annuler l’accord d’association signé avec l’Union européenne en 2014 et rétablir un partenariat stratégique avec Moscou.
Les sondages donnent la candidate de centre droit Maia Sandu en deuxième place de la course à la présidentielle moldave.
Elle a 44 ans, elle a été ministre de l‘Éducation, elle a travaillé à la Banque Mondiale.
Maia Sandu prône “l’intégration européenne” synonyme, selon elle, de “vraie démcratie” et de “prospérité”.
Entre la Roumanie à l’Ouest et l’Ukraine à l’Est, les 3,5 millions de Moldaves vivent avec un revenu moyen inférieur à 280 euros par mois.
L‘élection se déroule dans un climat de défiance des électeurs vis-à-vis du personnel politique à la suite du scandale lié à la disparition en 2015 d’un milliard de dollars des caisses des trois principales banques de l‘État.
Par ailleurs, la signature en 2014 de l’accord d’association avec l’Union européenne est critiqué par une partie des électeurs.
D’un côté, l’accord a permis d’accroitre les échanges commerciaux avec l’Union européenne, mais de l’autre Moscou a riposté en imposant un embargo sur les fruits et la viande moldaves.
En mars dernier, la Cour constitutionnelle a abrogé la réforme qui avait mené l‘élection du Président par le Parlement de cette ancienne république soviétique qui est indépendante depuis 1991.
Le candidat pro-russe Igor Dodon est le favori des sondages du premier tour de l‘élection.
Il a 41 ans, il a occupé le poste de ministre de l‘Économie dans un gouvernement communiste, il veut annuler l’accord d’association signé avec l’Union européenne en 2014 et rétablir un partenariat stratégique avec Moscou.
Les sondages donnent la candidate de centre droit Maia Sandu en deuxième place de la course à la présidentielle moldave.
Elle a 44 ans, elle a été ministre de l‘Éducation, elle a travaillé à la Banque Mondiale.
Maia Sandu prône “l’intégration européenne” synonyme, selon elle, de “vraie démcratie” et de “prospérité”.
Entre la Roumanie à l’Ouest et l’Ukraine à l’Est, les 3,5 millions de Moldaves vivent avec un revenu moyen inférieur à 280 euros par mois.
L‘élection se déroule dans un climat de défiance des électeurs vis-à-vis du personnel politique à la suite du scandale lié à la disparition en 2015 d’un milliard de dollars des caisses des trois principales banques de l‘État.
Par ailleurs, la signature en 2014 de l’accord d’association avec l’Union européenne est critiqué par une partie des électeurs.
D’un côté, l’accord a permis d’accroitre les échanges commerciaux avec l’Union européenne, mais de l’autre Moscou a riposté en imposant un embargo sur les fruits et la viande moldaves.
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