Si, comme les qualifiait Albert Londres dans un article daté de 1924, les cyclistes du Tour de France sont des «forçats de la route», les marins du Vendée Globe sont certainement leur équivalent en haute mer. Parce qu'avec trois à six heures de sommeil par jour – jamais plus d'une heure d'affilée –, des passages par les redoutés quarantièmes rugissants ou le Cap Horn, et près de trois mois d'isolement, accomplir ce tour du monde sans escale et sans assistance sur des rafiots dénués de confort est un exploit sportif, mais aussi mental.
Entre avaries, chavirages et arrivées triomphales dans le port des Sables-d'Olonnes, les images fortes ne manquent depuis le départ de la première édition, le 26 novembre 1989. Tour à tour, Loïck Peyron, Bertrand de Broc, Yves Parlier ou Ellen MacArthur – entre autres – ont ainsi contribué à la légende d'un Vendée-Globe, qui repart dimanche pour une huitième édition.
Entre avaries, chavirages et arrivées triomphales dans le port des Sables-d'Olonnes, les images fortes ne manquent depuis le départ de la première édition, le 26 novembre 1989. Tour à tour, Loïck Peyron, Bertrand de Broc, Yves Parlier ou Ellen MacArthur – entre autres – ont ainsi contribué à la légende d'un Vendée-Globe, qui repart dimanche pour une huitième édition.
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