C’est l’un des hommes les plus influents du cinéma français et un producteur de légende. Sans lui, il n’y aurait peut-être pas eu « Mélo », « Au revoir les enfants », « La vie est un long fleuve tranquille », ou encore « La pianiste » et la Palme d’Or de Gus Van Sant en 2003 pour « Elephant » à Cannes. Ses initiales ? MK… Comme les cinémas MK2. Marin Karmitz, l’homme qui a bâti un empire dans le cinéma indépendant et dont le fils assure la gestion depuis 2005, demeure un paradoxe. Retour sur une vie de chefs d’œuvre, d’engagements et de coups de gueule avec celui qui voulait, avec Nicolas Sarkozy, réformer le cinéma.
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