De Paris à Londres, de l’Australie aux Etats-Unis, la joie éclate après 4 ans où, pour la première fois de l’Histoire, la guerre fut mondiale…
Du haut du balcon de Buckingham Palace, on salue l’armistice en 1918… Le 11 novembre devient le jour choisi pour se consacrer au souvenir de ceux qui n’ont pas pu célébrer la fin du massacre.
Le conflit avait éclaté en août 1914.
#11Novembre #Armistice Retrouvez moi vendredi 11 novembre dans le journal OuestFrance . pic.twitter.com/6cSbc4knOg— La PremièreGM, 14-18 (1erGM) 31 octobre 2016
Cent ans après le début du conflit, le prince William et sa femme Kate venaient déposer des coquelicots de céramiques au pied de la Tour de Londres… La monarchie rendait ainsi hommage aux 888 246 soldats de l’empire britannique tombés dans les tranchées.
Le coquelicot ou ‘poppy’ est devenu le symbole de leur sacrifice dans tous les pays du commonwealth en 1921.
Pourquoi ? A cause d’un poème d’un soldat canadien écrit lors de la bataille d’Ypres en 1915 : ces poppies poussaient sur les pires champs de bataille dans les Flandres et leur couleur rouge illustrait parfaitement le bain de sang.
Des dizaines de milliers de soldats de toutes les nationalités reposent depuis en Belgique, le seul pays qui a subi la Grande guerre du début à la fin.
#ArmisticeDay #ArmisticeDay2015 #wapenstilstand #11novembre #LestWeForget #Ypres Menin Gate #InFlandersFields pic.twitter.com/7TGI7gsGBr— Frederik François (@FredmFrancois) 11 novembre 2015
Sur le mémorial de la porte de Menin, à Ypres, les visiteurs recherchent les noms de leurs ancêtres. Plus de 54 000 soldats britanniques et du commonwealth disparus y figurent…
Stephen Vassee, Australien, a trouvé celui du grand-oncle de sa femme, tué lors de la bataille du bois du Polygone le 7 octobre 1917.
Venus d’Australie, les descendants de ces hommes morts au combat ont honoré leur devoir de mémoire lors du centenaire. Preuve que le traumatisme de la Première Guerre mondiale fut énorme.
Et pas seulement pour ceux qui ont perdu un ancêtre, comme l’explique l’historienne et experte de la Grande guerre, la Professeure Margaret MacMillan de l’Université d’Oxford :
“_C‘était il y a 100 ans, mais la Première Guerre mondiale continue de façonner le monde dans lequel nous vivons.
Sans cette guerre, nous n’aurions peut-être pas eu la disparition des empires austro-hongrois et ottomans. Je pense que les Bolchéviques ne se seraient pas emparés du pouvoir en Russie en 1917. Et quand vous pensez à ce qui en découle, cela a façonné tout le XXe siècle. Et la Première Guerre mondiale a aussi créé les circonstances dans lesquelles la Seconde Guerre mondiale est devenue possible._”
72 pays belligérants ont participé aux commémorations du centenaire en 2014.
La Grande guerre fit 9 millions de victimes.
En France, ce n’est pas le coquelicot, mais le bleuet qui est arboré depuis 1925. Comme le poppy, il participe au devoir de mémoire… Longtemps, il a servi à aider les anciens combat
Du haut du balcon de Buckingham Palace, on salue l’armistice en 1918… Le 11 novembre devient le jour choisi pour se consacrer au souvenir de ceux qui n’ont pas pu célébrer la fin du massacre.
Le conflit avait éclaté en août 1914.
#11Novembre #Armistice Retrouvez moi vendredi 11 novembre dans le journal OuestFrance . pic.twitter.com/6cSbc4knOg— La PremièreGM, 14-18 (1erGM) 31 octobre 2016
Cent ans après le début du conflit, le prince William et sa femme Kate venaient déposer des coquelicots de céramiques au pied de la Tour de Londres… La monarchie rendait ainsi hommage aux 888 246 soldats de l’empire britannique tombés dans les tranchées.
Le coquelicot ou ‘poppy’ est devenu le symbole de leur sacrifice dans tous les pays du commonwealth en 1921.
Pourquoi ? A cause d’un poème d’un soldat canadien écrit lors de la bataille d’Ypres en 1915 : ces poppies poussaient sur les pires champs de bataille dans les Flandres et leur couleur rouge illustrait parfaitement le bain de sang.
Des dizaines de milliers de soldats de toutes les nationalités reposent depuis en Belgique, le seul pays qui a subi la Grande guerre du début à la fin.
#ArmisticeDay #ArmisticeDay2015 #wapenstilstand #11novembre #LestWeForget #Ypres Menin Gate #InFlandersFields pic.twitter.com/7TGI7gsGBr— Frederik François (@FredmFrancois) 11 novembre 2015
Sur le mémorial de la porte de Menin, à Ypres, les visiteurs recherchent les noms de leurs ancêtres. Plus de 54 000 soldats britanniques et du commonwealth disparus y figurent…
Stephen Vassee, Australien, a trouvé celui du grand-oncle de sa femme, tué lors de la bataille du bois du Polygone le 7 octobre 1917.
Venus d’Australie, les descendants de ces hommes morts au combat ont honoré leur devoir de mémoire lors du centenaire. Preuve que le traumatisme de la Première Guerre mondiale fut énorme.
Et pas seulement pour ceux qui ont perdu un ancêtre, comme l’explique l’historienne et experte de la Grande guerre, la Professeure Margaret MacMillan de l’Université d’Oxford :
“_C‘était il y a 100 ans, mais la Première Guerre mondiale continue de façonner le monde dans lequel nous vivons.
Sans cette guerre, nous n’aurions peut-être pas eu la disparition des empires austro-hongrois et ottomans. Je pense que les Bolchéviques ne se seraient pas emparés du pouvoir en Russie en 1917. Et quand vous pensez à ce qui en découle, cela a façonné tout le XXe siècle. Et la Première Guerre mondiale a aussi créé les circonstances dans lesquelles la Seconde Guerre mondiale est devenue possible._”
72 pays belligérants ont participé aux commémorations du centenaire en 2014.
La Grande guerre fit 9 millions de victimes.
En France, ce n’est pas le coquelicot, mais le bleuet qui est arboré depuis 1925. Comme le poppy, il participe au devoir de mémoire… Longtemps, il a servi à aider les anciens combat
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