En France, la course à l’Elysée s’est emballée ce mercredi.
Il y a eu tout d’abord l’annonce de la candidature d’ Emmanuel Macron.
L’ancien banquier, ex-ministre de l’Economie a choisi un centre d’apprentissage de la banlieue parisienne pour lever le suspense sur ses intentions.
A 38 ans, il prétend être le candidat “anti-système”
“J’ai vu de l’intérieur la vacuité de notre système politique qui empêche une majorité d’idées au motif qu’elles fragilisent les appareils, les partis traditionnels, les intérêts acquis, qui ne poursuit plus au fond l’intérêt général mais son propre intérêt.“
Emmanuel Macron, ancien ministre de l’Economie
Marine Le Pen
Elle aussi occupait le terrain politico-médiatique ce mercredi : Marine Le Pen. La numéro 1 du Front national inaugurait son quartier général de campagne à Paris.
Il se trouve à quelques pas de l’Arc de Triomphe, dans la rue du Faubourg-Saint-Honoré, celle de l’Elysée. Réjouie, Marine Le Pen espère que “le soir du second tour, nous n’aurons plus qu‘à descendre les 1,7 km qui nous (en) séparent de l’Elysée“.
Elle espère imiter Donald Trump, en s’appuyant sur les thématiques du protectionnisme et du rejet des élites.
“Il y a là un mouvement mondial, un mouvement mondial de rejet de la mondialisation sauvage, de l’ultra-libéralisme ravageur, de la mise en concurrence de tous les peuples avec tous les peuples, du rejet de la disparition des nations.“
Marine Le Pen, présidente du Front national
La primaire à droite
Dans l’agenda politique français, il y a également la primaire de la droite et du centre. Le premier tour aura lieu ce dimanche.
Les sondages placent toujours l’actuel maire de Bordeaux Alain Juppé en tête. Mais son avance sur ses concurrents tend à s’effriter.
Ses plus sérieux adversaires sont l’ex-président Nicolas Sarkozy et l’ancien Premier ministre François Fillon.
Les sept candidats doivent s’affronter ce jeudi soir dans un dernier débat télévisé.
>> La primaire de la droite et du centre, mode d’emploi : cliquez ici
Les candidats à gauche
A gauche, aussi, il y a aura une primaire. Et à ce stade, les jeux sont très ouverts dans la mesure où l’actuel président socialiste François Hollande n’a pas fait part de ses intentions. Il devrait faire part de ses intentions dans les prochaines semaines. Les sondages lui sont très défavorables.
S’il venait à ne pas se représenter, ce serait sans doute son Premier ministre Manuel Valls qui se porterait candidat, sachant qu’il y a déjà plusieurs prétendants déclarés, comme Arnaud Montebourg ou encore Benoît Hamon.
Enfin pour terminer le tour d’horizon, le parti écologiste aura son candidat, Yannick Jadot, sorti vainqueur de la primaire des Verts.
L‘élection présidentielle aura lieu fin avril et début mai.
Il y a eu tout d’abord l’annonce de la candidature d’ Emmanuel Macron.
L’ancien banquier, ex-ministre de l’Economie a choisi un centre d’apprentissage de la banlieue parisienne pour lever le suspense sur ses intentions.
A 38 ans, il prétend être le candidat “anti-système”
“J’ai vu de l’intérieur la vacuité de notre système politique qui empêche une majorité d’idées au motif qu’elles fragilisent les appareils, les partis traditionnels, les intérêts acquis, qui ne poursuit plus au fond l’intérêt général mais son propre intérêt.“
Emmanuel Macron, ancien ministre de l’Economie
Marine Le Pen
Elle aussi occupait le terrain politico-médiatique ce mercredi : Marine Le Pen. La numéro 1 du Front national inaugurait son quartier général de campagne à Paris.
Il se trouve à quelques pas de l’Arc de Triomphe, dans la rue du Faubourg-Saint-Honoré, celle de l’Elysée. Réjouie, Marine Le Pen espère que “le soir du second tour, nous n’aurons plus qu‘à descendre les 1,7 km qui nous (en) séparent de l’Elysée“.
Elle espère imiter Donald Trump, en s’appuyant sur les thématiques du protectionnisme et du rejet des élites.
“Il y a là un mouvement mondial, un mouvement mondial de rejet de la mondialisation sauvage, de l’ultra-libéralisme ravageur, de la mise en concurrence de tous les peuples avec tous les peuples, du rejet de la disparition des nations.“
Marine Le Pen, présidente du Front national
La primaire à droite
Dans l’agenda politique français, il y a également la primaire de la droite et du centre. Le premier tour aura lieu ce dimanche.
Les sondages placent toujours l’actuel maire de Bordeaux Alain Juppé en tête. Mais son avance sur ses concurrents tend à s’effriter.
Ses plus sérieux adversaires sont l’ex-président Nicolas Sarkozy et l’ancien Premier ministre François Fillon.
Les sept candidats doivent s’affronter ce jeudi soir dans un dernier débat télévisé.
>> La primaire de la droite et du centre, mode d’emploi : cliquez ici
Les candidats à gauche
A gauche, aussi, il y a aura une primaire. Et à ce stade, les jeux sont très ouverts dans la mesure où l’actuel président socialiste François Hollande n’a pas fait part de ses intentions. Il devrait faire part de ses intentions dans les prochaines semaines. Les sondages lui sont très défavorables.
S’il venait à ne pas se représenter, ce serait sans doute son Premier ministre Manuel Valls qui se porterait candidat, sachant qu’il y a déjà plusieurs prétendants déclarés, comme Arnaud Montebourg ou encore Benoît Hamon.
Enfin pour terminer le tour d’horizon, le parti écologiste aura son candidat, Yannick Jadot, sorti vainqueur de la primaire des Verts.
L‘élection présidentielle aura lieu fin avril et début mai.
Category
🗞
News