“Visa for Music” s’impose comme le premier salon des musiques d’Afrique et du Moyen-Orient. Tout est parti d’un constat avec d’un côté le manque de visibilité des artistes de ces régions et de l’autre un grand dynamisme artistique.
A Rabat au Maroc, VFM veut combler ce fossé entre les deux.
Mohamed Amine Sbihi, ministre marocain de la Culture : “Ici en Maroc il était pour nous essentiel de renforcer ces métiers qui sont des tourner des spectacle, de renforcer ce rôle essentiel qui joue les sociétés de production ou du diffusion musicale parce que le pouvoir public peut soutenir la création musicale, mais a quoi sert la création musicale si elle n’arrive pas au public le plus large.”
Une cinquantaine de groupes se sont produits pendant les quatre jours de l‘événement dont “Africa United.
Fahad Faisoil, musicien : “Je suis à Visa For Music pour pouvoir trouver des contrat ou des choses pour notre avenir, pour qu’on puisse s’exporter quand même.”
Parmi les directeurs de festivals de musiques venus là faire leur marché Billy Domingo du festival de jazz du Cap en Afrique du Sud : “L’an dernier j‘étais reparti du VFM avec deux artistes qui se sont produits au festival international du Cap. C‘était la première fois pour Hicham Telmoudi le violoniste et il a fait un malheur, les gens ont adoré. Et là je suis en train de le booker avec Deepak Pandit un des plus grands violonistes indiens et puis j’ai aussi fait venir “Istanbul Sessions” qui a enchanté le public, vraiment. Et c’est la raison pour laquelle je suis revenu pour trouver d’autres talents.”
Carlos Lopes
vient du Cap Vert. Il est basé à Paris.
Robert Dray, agent et producteur : “On a eu de très bons contacts avec des programmateurs qui sont venus nous voir, ils ont aimé, on a déjà quelques dates en Suisse, peut être au Mexique, voilà, les choses se construisent.”
Doueh est une fusion de punk rock et d‘électro qui a invité des musiciens français à jouer avec eux à Dakhla, au Sahara occidental.
Maria Semuchkina dirige l’un des plus importants festival de jazz à Moscou : “On ne voit jamais vraiment des musiciens avec cette chaleur, qui sont aussi ouverts. Et ce sont les rythmes de l’Afrique, tout ça nous manque beaucoup en Russie, c’est sont des cultures absolument différentes mais si on mélange le tout, il va naitre quelque chose de vraiment extraordinaire.
JadaL est lui un groupe jordanien.
Jbara est un des groupes marocains les plus installés, c’est la troisième fois qu’il vient au VFM : “Cette année c’est très bien. J’ai cinq collaborations avec des Africains on va faire cinq albums, inchallah, et j’ai des festival aussi, en Lituanie, en Allemagne et en Afrique.”
Autre groupe de l’Ouest africain venu au VFM : Jakko.
Wolfgang Spindler, Euronews : “Ici à Visa for Music, les professionnels de l’industrie de la musique peuvent découvrir des talents qui ne disposent pas de budget pour se faire connaître. Pour certains c’est un succès alors qu’ils ont déjà signé pour par
A Rabat au Maroc, VFM veut combler ce fossé entre les deux.
Mohamed Amine Sbihi, ministre marocain de la Culture : “Ici en Maroc il était pour nous essentiel de renforcer ces métiers qui sont des tourner des spectacle, de renforcer ce rôle essentiel qui joue les sociétés de production ou du diffusion musicale parce que le pouvoir public peut soutenir la création musicale, mais a quoi sert la création musicale si elle n’arrive pas au public le plus large.”
Une cinquantaine de groupes se sont produits pendant les quatre jours de l‘événement dont “Africa United.
Fahad Faisoil, musicien : “Je suis à Visa For Music pour pouvoir trouver des contrat ou des choses pour notre avenir, pour qu’on puisse s’exporter quand même.”
Parmi les directeurs de festivals de musiques venus là faire leur marché Billy Domingo du festival de jazz du Cap en Afrique du Sud : “L’an dernier j‘étais reparti du VFM avec deux artistes qui se sont produits au festival international du Cap. C‘était la première fois pour Hicham Telmoudi le violoniste et il a fait un malheur, les gens ont adoré. Et là je suis en train de le booker avec Deepak Pandit un des plus grands violonistes indiens et puis j’ai aussi fait venir “Istanbul Sessions” qui a enchanté le public, vraiment. Et c’est la raison pour laquelle je suis revenu pour trouver d’autres talents.”
Carlos Lopes
vient du Cap Vert. Il est basé à Paris.
Robert Dray, agent et producteur : “On a eu de très bons contacts avec des programmateurs qui sont venus nous voir, ils ont aimé, on a déjà quelques dates en Suisse, peut être au Mexique, voilà, les choses se construisent.”
Doueh est une fusion de punk rock et d‘électro qui a invité des musiciens français à jouer avec eux à Dakhla, au Sahara occidental.
Maria Semuchkina dirige l’un des plus importants festival de jazz à Moscou : “On ne voit jamais vraiment des musiciens avec cette chaleur, qui sont aussi ouverts. Et ce sont les rythmes de l’Afrique, tout ça nous manque beaucoup en Russie, c’est sont des cultures absolument différentes mais si on mélange le tout, il va naitre quelque chose de vraiment extraordinaire.
JadaL est lui un groupe jordanien.
Jbara est un des groupes marocains les plus installés, c’est la troisième fois qu’il vient au VFM : “Cette année c’est très bien. J’ai cinq collaborations avec des Africains on va faire cinq albums, inchallah, et j’ai des festival aussi, en Lituanie, en Allemagne et en Afrique.”
Autre groupe de l’Ouest africain venu au VFM : Jakko.
Wolfgang Spindler, Euronews : “Ici à Visa for Music, les professionnels de l’industrie de la musique peuvent découvrir des talents qui ne disposent pas de budget pour se faire connaître. Pour certains c’est un succès alors qu’ils ont déjà signé pour par
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