François Bayrou a annoncé ce mercredi 22 février vouloir construire une alliance avec Emmanuel Macron. Quel est le réel impact de ce ralliement surprise sur l'élection présidentielle ?
À deux mois de l'élection présidentielle, François Bayrou a annoncé ce mercredi 22 février son ralliement à Emmanuel Macron. Mais cette alliance va-t-elle vraiment changer la donne ? "Tout dépend comment les Français vont percevoir cette alliance un peu étrange il faut bien le reconnaître. D'un côté, il y a Emmanuel Macron, le nouveau visage de la politique, christique, mystique dit-on. Il vient de la banque Rothschild et ne s'est jamais frotté au suffrage universel", explique Danielle Sportiello sur le plateau de France 3.
Ni droite ni gauche
De l'autre côté, il y a François Bayrou, vieille image de la politique, il a déjà été trois fois candidat. "C'est un sage, un professeur, même un peu moralisateur, qui s'est frotté à bon nombre d'élections et qui a une image de probité d'homme qui n'est pas lié à l'argent. Malgré tout, il y a quelques points communs entre ces deux hommes. Tous les deux répètent qu'ils veulent une moralisation de la vie publique. Ils ont aussi le même credo : ni droite ni gauche", conclut le journaliste.
À deux mois de l'élection présidentielle, François Bayrou a annoncé ce mercredi 22 février son ralliement à Emmanuel Macron. Mais cette alliance va-t-elle vraiment changer la donne ? "Tout dépend comment les Français vont percevoir cette alliance un peu étrange il faut bien le reconnaître. D'un côté, il y a Emmanuel Macron, le nouveau visage de la politique, christique, mystique dit-on. Il vient de la banque Rothschild et ne s'est jamais frotté au suffrage universel", explique Danielle Sportiello sur le plateau de France 3.
Ni droite ni gauche
De l'autre côté, il y a François Bayrou, vieille image de la politique, il a déjà été trois fois candidat. "C'est un sage, un professeur, même un peu moralisateur, qui s'est frotté à bon nombre d'élections et qui a une image de probité d'homme qui n'est pas lié à l'argent. Malgré tout, il y a quelques points communs entre ces deux hommes. Tous les deux répètent qu'ils veulent une moralisation de la vie publique. Ils ont aussi le même credo : ni droite ni gauche", conclut le journaliste.
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