Lors de l’inauguration de la LGV Tours-Bordeaux, le discours du président a été interrompu par un bruit de coup de feu.
Ce mardi 28 février, alors que François Hollande était en plein discours à Villognon en Charente, un coup de feu a retenti. Le président s’est alors arrêté un instant : « J’espère qu’il n’y a rien de grave », avant de marquer un second arrêt en ajoutant « Je ne pense pas ». Sans être perturbé plus que ça, François Hollande a alors repris son discours.
À quelques mètres de là, un tireur d’élite de 33 ans qui s’apprêtait à changer de position de tir à trébuché et a accidentellement déclenché le tir. La balle a traversé une tente vide, avant de transpercer la cuisse d’un serveur et de terminer sa course dans le mollet d’un ouvrier. Pierre N’Gahane, le préfet de la Charente, a précisé que « les jours des deux blessés n’étaient pas en danger » et qu’une enquête avait été ouverte. Immédiatement après avoir appris la situation, le président s’est rendu au chevet des deux victimes.
Ce mardi 28 février, alors que François Hollande était en plein discours à Villognon en Charente, un coup de feu a retenti. Le président s’est alors arrêté un instant : « J’espère qu’il n’y a rien de grave », avant de marquer un second arrêt en ajoutant « Je ne pense pas ». Sans être perturbé plus que ça, François Hollande a alors repris son discours.
À quelques mètres de là, un tireur d’élite de 33 ans qui s’apprêtait à changer de position de tir à trébuché et a accidentellement déclenché le tir. La balle a traversé une tente vide, avant de transpercer la cuisse d’un serveur et de terminer sa course dans le mollet d’un ouvrier. Pierre N’Gahane, le préfet de la Charente, a précisé que « les jours des deux blessés n’étaient pas en danger » et qu’une enquête avait été ouverte. Immédiatement après avoir appris la situation, le président s’est rendu au chevet des deux victimes.
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