En Norvège, sur l’île du Spitzberg, un bunker ultra sécurisé a été construit pour conserver et garder à l’abri des graines du monde entier.
Le but est de conserver dans un lieu sécurisé des semences venues de toutes les cultures vivrières de la planète.
Une nouvelle aile a été ouverte dans ce bunker, pour sauvegarder, cette fois-ci, toute sorte de documents.
Des États, des entreprises privées ou des individus peuvent payer pour mettre à l’abri leur documents dans ce bunker.
D’après les responsables du bunker, les documents ainsi conservés pourraient encore être consultables d’ici 1 000 ans.
Pour arriver à un tel résultat, les documents sont stockés sur des films photosensibles et non pas dans un format numérique.
Depuis son ouverture, fin mars 2017, le bunker a déjà accueillie des archives de la part du Mexique et du Brésil.
Le but est de conserver dans un lieu sécurisé des semences venues de toutes les cultures vivrières de la planète.
Une nouvelle aile a été ouverte dans ce bunker, pour sauvegarder, cette fois-ci, toute sorte de documents.
Des États, des entreprises privées ou des individus peuvent payer pour mettre à l’abri leur documents dans ce bunker.
D’après les responsables du bunker, les documents ainsi conservés pourraient encore être consultables d’ici 1 000 ans.
Pour arriver à un tel résultat, les documents sont stockés sur des films photosensibles et non pas dans un format numérique.
Depuis son ouverture, fin mars 2017, le bunker a déjà accueillie des archives de la part du Mexique et du Brésil.
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