Un Congrès de Reims fondateur pour la rénovation du Parti Socialiste
Deux évènements majeurs de l’histoire récente du Parti Socialiste ont pesé lourd dans la défaite de la gauche aux élections présidentielles.
Le Congrès du Mans , tout d’abord, qui a donné lieu à une dramaturgie de façade vers une synthèse finale sensée rassembler les socialistes. Cette synthèse , vide de sens et foulée aux pieds par les responsables socialistes, a discrédité le Parti Socialiste dans sa capacité à proposer un projet à nos concitoyens.
Puis, ce fut l’organisation de primaires internes à quelques mois seulement du scrutin présidentiel. D’une volonté de mener un débat démocratique exemplaire et transparent, cet exercice s’est transformé en une bataille qui laissa des traces profondes dans les mois qui suivirent au Parti Socialiste.
Malgré un parti socialiste désorganisé, les militants socialistes ont fait une campagne électorale de terrain participative, innovante et enthousiaste. Avec une fierté retrouvée, et malgré la défaite, les militants ont dit merci à Ségolène Royal au soir du deuxième tour.
Car, chacun des militants gardait en mémoire l’effet dévastateur des attaques menées contre Ségolène Royal par ses challengers socialistes et reprises par Nicolas Sarkozy tout au long de la campagne électorale.
Certains veulent priver notre parti de la cohérence nécessaire avec le calendrier électoral au nom d’une ambition qui ne dit pas son nom.
Aujourd’hui, le temps de la clarification et de la cohérence est venu pour le Parti socialiste. Le prochain Congrès doit être utile et constituer un temps fort de la refondation de notre parti. Le projet que nous choisirons au Congrès de Reims devra être porté par notre premier secrétaire aux présidentielles de 2012. Parce qu’alors, nous aurons collectivement le temps de construire notre projet. Parce qu’alors, les socialistes arriveront sereins aux présidentielles de 2012.
Deux évènements majeurs de l’histoire récente du Parti Socialiste ont pesé lourd dans la défaite de la gauche aux élections présidentielles.
Le Congrès du Mans , tout d’abord, qui a donné lieu à une dramaturgie de façade vers une synthèse finale sensée rassembler les socialistes. Cette synthèse , vide de sens et foulée aux pieds par les responsables socialistes, a discrédité le Parti Socialiste dans sa capacité à proposer un projet à nos concitoyens.
Puis, ce fut l’organisation de primaires internes à quelques mois seulement du scrutin présidentiel. D’une volonté de mener un débat démocratique exemplaire et transparent, cet exercice s’est transformé en une bataille qui laissa des traces profondes dans les mois qui suivirent au Parti Socialiste.
Malgré un parti socialiste désorganisé, les militants socialistes ont fait une campagne électorale de terrain participative, innovante et enthousiaste. Avec une fierté retrouvée, et malgré la défaite, les militants ont dit merci à Ségolène Royal au soir du deuxième tour.
Car, chacun des militants gardait en mémoire l’effet dévastateur des attaques menées contre Ségolène Royal par ses challengers socialistes et reprises par Nicolas Sarkozy tout au long de la campagne électorale.
Certains veulent priver notre parti de la cohérence nécessaire avec le calendrier électoral au nom d’une ambition qui ne dit pas son nom.
Aujourd’hui, le temps de la clarification et de la cohérence est venu pour le Parti socialiste. Le prochain Congrès doit être utile et constituer un temps fort de la refondation de notre parti. Le projet que nous choisirons au Congrès de Reims devra être porté par notre premier secrétaire aux présidentielles de 2012. Parce qu’alors, nous aurons collectivement le temps de construire notre projet. Parce qu’alors, les socialistes arriveront sereins aux présidentielles de 2012.
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