Anis Hanachi, frère du tueur de Marseille, a combatttu en Syrie et c’est probablement lui qui a poussé son frère à l’extrêmisme islamiste. On en sait plus à présent sur le Tunisien qui a été arrêté samedi soir dans le nord de l’Italie. Il est soupçonné par les enquêteurs français de complicité dans l’assassinat des deux jeunes filles à la gare de Marseille… Il était traqué depuis le 4 octobre.
“ En ce qui nous concerne, a expliqué le chef de la police anti-terroriste italienne lors d’une conférence de presse à Rome, nous avons une trace de lui qui remonte à 2014 quand l’entrée en Italie lui avait été refusée. D’après les informations des autorités françaises, nous avons constaté qu’il était en Italie depuis quelques jours, depuis le 27 septembre, et qu’il était déjà connu pour avoir opéré en tant que combattant étranger en Syrie. Donc, pour l’instant, il n’y a pas de raison de croire qu’il a été radicalisé en Italie”.
Anis Hanachi a été arrêté à Ferrare alors qu’il circulait à vélo. Il a donné une fausse identité, prétendant être Algérien, mais la vérification de ses photos d’identité et de ses empreintes digitales avec les polices française et tunisienne ont permis de certifier qu’il était le frère du tueur de Marseille.
Ce dernier, lui, a vécu huit ans à Aprilia, au sud de Rome, où il était connu de la police pour des faits mineurs, mais rien en rapport avec le djihadisme.
“ En ce qui nous concerne, a expliqué le chef de la police anti-terroriste italienne lors d’une conférence de presse à Rome, nous avons une trace de lui qui remonte à 2014 quand l’entrée en Italie lui avait été refusée. D’après les informations des autorités françaises, nous avons constaté qu’il était en Italie depuis quelques jours, depuis le 27 septembre, et qu’il était déjà connu pour avoir opéré en tant que combattant étranger en Syrie. Donc, pour l’instant, il n’y a pas de raison de croire qu’il a été radicalisé en Italie”.
Anis Hanachi a été arrêté à Ferrare alors qu’il circulait à vélo. Il a donné une fausse identité, prétendant être Algérien, mais la vérification de ses photos d’identité et de ses empreintes digitales avec les polices française et tunisienne ont permis de certifier qu’il était le frère du tueur de Marseille.
Ce dernier, lui, a vécu huit ans à Aprilia, au sud de Rome, où il était connu de la police pour des faits mineurs, mais rien en rapport avec le djihadisme.
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