Voyons à présent plus précisément comment l'outil d'évaluation multidimensionnelle est structuré.
Les formulaires d’InterRai home care sont organisés autour de 19 domaines qui regroupent au total 280 items d'évaluation.
On retrouve ici la liste des différents domaines.
Prenons l’exemple du domaine « état fonctionnel », on y trouve un ensemble d’items comme par exemple "se faire comprendre et être compris"
Précisions sur les formulaires
À partir de cet exemple, on illustre quelques principes de construction de l’outil :
L’aide contextuelle :
Sur la question « faire les courses », l’aide contextuelle fait référence au manuel et porte toujours sur 4 points
-Objectif, raison pour laquelle l’item est retenu dans le formulaire interRAI HC
-Définition précise de l’item.
-Procédure, c’est-à-dire les sources d’informations ou la méthode pour recueillir les informations et déterminer la réponse correcte à un item.
Règles de codage et catégories de réponses
L'aide contextuelle vous permet de comprendre les différentes réponses possibles à un item. Elle définit par exemple ce que signifie « dépendance totale » ou « assistance maximale » pour permettre à l’évaluateur de comprendre les nuances dans le codage et choisir celui le plus approprié à la situation évaluée.
La notion de performance et de capacité :
Comme on le voit ici, les questions de performance et capacité sont différenciées.
La performance correspond à ce qui est effectivement constaté ou réalisé alors que la capacité correspond à ce que la personne pourrait faire.
La performance et la capacité sont prises en compte par les algorithmes pour affiner les analyses et définir le niveau de compensation.
Les règles de codage s’appuient sur une échelle cardinale :
-La période d’observation
-La fréquence de l’évènement
-Le degré de sévérité
-Le niveau de l’aide
Le plus souvent, la réponse à la question n’est pas un simple « oui » ou « non ». Des échelles sont proposées pour tenir compte des nuances dans l'appréciation.
Qui répond à la question :
Les réponses à apporter résultent toujours de l’observation et des échanges avec la personne, son entourage et les professionnels. Pour certains items, seul le ressenti de la personne est à prendre en considération.
L’ergonomie :
La force d’un outil informatique est de pouvoir proposer des listes déroulantes, des cases à cocher… Evidemment, l’ergonomie du formulaire sera propre à chacun des éditeurs de logiciels mais les items, le format des réponses et la présence de l’aide contextuelle sont imposés par le référentiel national.
Qu’en est-il de la synthèse à l’issue de l’analyse ?
Les alarmes par domaine :
La synthèse permet d’analyser l’ensemble des données issues de l’évaluation grâce à des algorithmes qui utilisent des signaux d’alarme, elle met en évidence la liste des problèmes pour lesquels des interventions doivent être envisagées.
Les formulaires d’InterRai home care sont organisés autour de 19 domaines qui regroupent au total 280 items d'évaluation.
On retrouve ici la liste des différents domaines.
Prenons l’exemple du domaine « état fonctionnel », on y trouve un ensemble d’items comme par exemple "se faire comprendre et être compris"
Précisions sur les formulaires
À partir de cet exemple, on illustre quelques principes de construction de l’outil :
L’aide contextuelle :
Sur la question « faire les courses », l’aide contextuelle fait référence au manuel et porte toujours sur 4 points
-Objectif, raison pour laquelle l’item est retenu dans le formulaire interRAI HC
-Définition précise de l’item.
-Procédure, c’est-à-dire les sources d’informations ou la méthode pour recueillir les informations et déterminer la réponse correcte à un item.
Règles de codage et catégories de réponses
L'aide contextuelle vous permet de comprendre les différentes réponses possibles à un item. Elle définit par exemple ce que signifie « dépendance totale » ou « assistance maximale » pour permettre à l’évaluateur de comprendre les nuances dans le codage et choisir celui le plus approprié à la situation évaluée.
La notion de performance et de capacité :
Comme on le voit ici, les questions de performance et capacité sont différenciées.
La performance correspond à ce qui est effectivement constaté ou réalisé alors que la capacité correspond à ce que la personne pourrait faire.
La performance et la capacité sont prises en compte par les algorithmes pour affiner les analyses et définir le niveau de compensation.
Les règles de codage s’appuient sur une échelle cardinale :
-La période d’observation
-La fréquence de l’évènement
-Le degré de sévérité
-Le niveau de l’aide
Le plus souvent, la réponse à la question n’est pas un simple « oui » ou « non ». Des échelles sont proposées pour tenir compte des nuances dans l'appréciation.
Qui répond à la question :
Les réponses à apporter résultent toujours de l’observation et des échanges avec la personne, son entourage et les professionnels. Pour certains items, seul le ressenti de la personne est à prendre en considération.
L’ergonomie :
La force d’un outil informatique est de pouvoir proposer des listes déroulantes, des cases à cocher… Evidemment, l’ergonomie du formulaire sera propre à chacun des éditeurs de logiciels mais les items, le format des réponses et la présence de l’aide contextuelle sont imposés par le référentiel national.
Qu’en est-il de la synthèse à l’issue de l’analyse ?
Les alarmes par domaine :
La synthèse permet d’analyser l’ensemble des données issues de l’évaluation grâce à des algorithmes qui utilisent des signaux d’alarme, elle met en évidence la liste des problèmes pour lesquels des interventions doivent être envisagées.
Category
🗞
News