Imaginez une « super vache », capable de produire plus de lait et de résister aux fortes chaleurs. Ce projet est le nouveau défi de Bill Gates. L’homme d’affaires souhaite développer une race génétiquement modifiée. Elle pourrait s’adapter au réchauffement climatique et permettre de lutter contre la malnutrition.Notamment en Afrique.
Pour ça, il a signé un chèque de 32 millions d’euros à l’Alliance mondiale pour les médicaments destinés au bétail. Cette organisation non gouvernementale, installée en Ecosse, mène des recherches sur les vaccins et la génétique à destination du bétail à des prix accessibles.Pour l’instant, aucune précision n’a été donnée sur la manière dont Bill Gates comptait mettre en place cette nouvelle race.
Ce n’est pas la première fois que de telles recherches sont lancées. Le 23 juin 2017, des généticiens de l’Institut des sciences agroalimentaires de l’université de Floride avaient aussi annoncé le développement d’espèces de vaches génétiquement modifiées.
En Afrique, la famine toucherait selon une estimation de l’ONU près de vingt millions de personnes.
Pour ça, il a signé un chèque de 32 millions d’euros à l’Alliance mondiale pour les médicaments destinés au bétail. Cette organisation non gouvernementale, installée en Ecosse, mène des recherches sur les vaccins et la génétique à destination du bétail à des prix accessibles.Pour l’instant, aucune précision n’a été donnée sur la manière dont Bill Gates comptait mettre en place cette nouvelle race.
Ce n’est pas la première fois que de telles recherches sont lancées. Le 23 juin 2017, des généticiens de l’Institut des sciences agroalimentaires de l’université de Floride avaient aussi annoncé le développement d’espèces de vaches génétiquement modifiées.
En Afrique, la famine toucherait selon une estimation de l’ONU près de vingt millions de personnes.
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