Chaque mois, partez avec Mizuno à la découverte des grands moments et des petites histoires autour des équipes de France de judo et de jujitsu. Du judo, des hommes et des femmes, des joies, des larmes, des objectifs, des médailles, avec, toujours, le coq bleu-blanc-rouge brodé sur leur judogi Mizuno.
Depuis le 23 novembre dernier, date de l’annonce par le comité de sélection des cinquante-six athlètes tricolores retenus pour disputer le Grand Chelem de Paris 2018 (10 et 11 février), ceux-ci n’ont plus que ça en tête. La perspective de disputer l’un des plus grands tournois du monde, sinon le plus grand de l’aveu de générations de combattants, qui plus est devant sa famille, ses camarades de clubs ou ses amis, obnubile tous les esprits, dirige la tête et les jambes durant toute la préparation. Avec l’espoir pour chacun d’inscrire son nom, avec son kimono Mizuno aux couleurs nationales sur le dos, dans la grande histoire de l’épreuve, initiée depuis 1971 et qui connaîtra ce week-end son quarante-quatrième chapitre. Pour l’heure, chacun y est allé de son souvenir, des cagettes portées par Clarisse Agbegnenou, lorsqu’elle faisait partie des estafettes bénévoles, aux sumi-gaeshi de Matthieu Dafreville qu’essaya derrière de reproduire à l’entraînement Jonathan Allardon alors qu’il était encore cadets, en passant par les vidéos scrutées par Jolan Florimont qui s’apprête à disputer son premier Grand Chelem de Paris ou la « furieuse » bande d’amis poussant chaque année depuis 2013 Cyrille Maret, en lice pour un sixième podium de rang dimanche.
Depuis le 23 novembre dernier, date de l’annonce par le comité de sélection des cinquante-six athlètes tricolores retenus pour disputer le Grand Chelem de Paris 2018 (10 et 11 février), ceux-ci n’ont plus que ça en tête. La perspective de disputer l’un des plus grands tournois du monde, sinon le plus grand de l’aveu de générations de combattants, qui plus est devant sa famille, ses camarades de clubs ou ses amis, obnubile tous les esprits, dirige la tête et les jambes durant toute la préparation. Avec l’espoir pour chacun d’inscrire son nom, avec son kimono Mizuno aux couleurs nationales sur le dos, dans la grande histoire de l’épreuve, initiée depuis 1971 et qui connaîtra ce week-end son quarante-quatrième chapitre. Pour l’heure, chacun y est allé de son souvenir, des cagettes portées par Clarisse Agbegnenou, lorsqu’elle faisait partie des estafettes bénévoles, aux sumi-gaeshi de Matthieu Dafreville qu’essaya derrière de reproduire à l’entraînement Jonathan Allardon alors qu’il était encore cadets, en passant par les vidéos scrutées par Jolan Florimont qui s’apprête à disputer son premier Grand Chelem de Paris ou la « furieuse » bande d’amis poussant chaque année depuis 2013 Cyrille Maret, en lice pour un sixième podium de rang dimanche.
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