Interventions sur "L’Arche aux petites bêtes du Zoo de Thoiry".
La végétalisation des toitures connait un succès grandissant auprès des acteurs publics et privés, en lien avec l’intérêt croissant pour la nature en ville. La littérature prête aux toitures végétalisées un ensemble de bénéfices pour la ville et ses habitants, en termes d’isolation phonique ou thermique, de rétention des eaux pluviales, d’accueil de la biodiversité ou de stockage de carbone. Des travaux de recherche récents (Madre, 2014 ; Dusza, 2017) confirment que ces aménagements sont porteurs de bénéfices tout en montrant que ceux-ci varient en fonction des choix de conception (type de substrat, complexité des communautés végétales, strates, etc.) ou de gestion qui sont appliqués. Ils indiquent par ailleurs qu’on ne peut pas attendre des toitures végétalisées qu’elles apportent tous les services écologiques en même temps.
Quelle biodiversité trouve-t-on sur ces toitures ? Quels sont les résultats des travaux de recherche ou des expérimentations en cours ? Comment les connaissances en écologie peuvent-elles contribuer à améliorer l’attractivité des toitures pour la biodiversité ? Autant de questions auxquelles cette journée co-organisée par la Direction de l’Habitat, de l’urbanisme et des paysages, animatrice du club national EcoQuartier, et par l’Agence régionale de la biodiversité en Île-de-France (ARB, ex-Natureparif) a apporté des réponses au travers des interventions et témoignages autant que dans le dialogue avec les 200 participants présents.
La végétalisation des toitures connait un succès grandissant auprès des acteurs publics et privés, en lien avec l’intérêt croissant pour la nature en ville. La littérature prête aux toitures végétalisées un ensemble de bénéfices pour la ville et ses habitants, en termes d’isolation phonique ou thermique, de rétention des eaux pluviales, d’accueil de la biodiversité ou de stockage de carbone. Des travaux de recherche récents (Madre, 2014 ; Dusza, 2017) confirment que ces aménagements sont porteurs de bénéfices tout en montrant que ceux-ci varient en fonction des choix de conception (type de substrat, complexité des communautés végétales, strates, etc.) ou de gestion qui sont appliqués. Ils indiquent par ailleurs qu’on ne peut pas attendre des toitures végétalisées qu’elles apportent tous les services écologiques en même temps.
Quelle biodiversité trouve-t-on sur ces toitures ? Quels sont les résultats des travaux de recherche ou des expérimentations en cours ? Comment les connaissances en écologie peuvent-elles contribuer à améliorer l’attractivité des toitures pour la biodiversité ? Autant de questions auxquelles cette journée co-organisée par la Direction de l’Habitat, de l’urbanisme et des paysages, animatrice du club national EcoQuartier, et par l’Agence régionale de la biodiversité en Île-de-France (ARB, ex-Natureparif) a apporté des réponses au travers des interventions et témoignages autant que dans le dialogue avec les 200 participants présents.
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Éducation