Bergerac
Bergerac au bord de la Dordogne, gabarre, vieux pont, coucher de soleil... Petite page d'histoire : Arrivé à destination, le bateau était vendu avec sa cargaison, soit à part, au quart ou au cinquième de sa valeur d’origine. S’il était encore en bon état, il était parfois conservé, après avoir été renforcé, pour servir d’allège. Sinon, il était " déchiré ", c’est-à-dire démoli, pour fournir du bois de chauffage ou de clôture. Les gabariers remontaient alors à leur point de départ pour effectuer une autre descente si les eaux étaient favorables, d'autres bateaux les y attendant tout chargés. Tant que cette remontée se fit à pied, ils n'effectuaient guère que deux ou trois descentes par an. Mais l’avènement du chemin de fer assurant un retour plus rapide, permit d’accélérer les rotations. Certains équipages arrivaient alors à descendre jusqu’à dix bateaux dans leur saison, ce qui apporta une certaine aisance aux gabariers dans les dernières années de la navigation de la haute Dordogne. Je vous invite à lire la suite sur : http://charles.bouyssi.free.fr/gabare/Gabares.htm
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