Closer : Parlez-nous de votre histoire avec Faouzi Tarkhani.
Disons que je le connaissais mal en l'épousant : il m'avait caché le fait qu'il était salafiste, avait minimisé sa cécité, prétendant voir un peu, alors qu'il est aveugle à 95 % !
Elle avait lu un article qu'il avait publié dans L'Obs, dans lequel il expliquait qu'être salafiste ne l'empêchait pas d'aimer le camembert, Flaubert et l'école de la République.
Oui, mais elle le chante elle-même : "Tous les moyens sont bons pour trouver l'homme de sa vie."
Il m'a alors informé que nous devions divorcer en France, par consentement mutuel, pour qu'il puisse l'épouser civilement, tout en vivant la moitié du temps en Tunisie avec moi.
Faouzi m'a également proposé de me marier à son meilleur ami, qui gagne très bien sa vie, mais j'ai refusé également.
En moins d'un mois, c'était plié : il est parti vivre en France chez elle, me laissant en Tunisie, sans travail, avec nos enfants.
Disons que je le connaissais mal en l'épousant : il m'avait caché le fait qu'il était salafiste, avait minimisé sa cécité, prétendant voir un peu, alors qu'il est aveugle à 95 % !
Elle avait lu un article qu'il avait publié dans L'Obs, dans lequel il expliquait qu'être salafiste ne l'empêchait pas d'aimer le camembert, Flaubert et l'école de la République.
Oui, mais elle le chante elle-même : "Tous les moyens sont bons pour trouver l'homme de sa vie."
Il m'a alors informé que nous devions divorcer en France, par consentement mutuel, pour qu'il puisse l'épouser civilement, tout en vivant la moitié du temps en Tunisie avec moi.
Faouzi m'a également proposé de me marier à son meilleur ami, qui gagne très bien sa vie, mais j'ai refusé également.
En moins d'un mois, c'était plié : il est parti vivre en France chez elle, me laissant en Tunisie, sans travail, avec nos enfants.
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