« C’était comme dans un rêve », lance Cédric Dos Santos. Le jeune Alsacien et sa compagne, Emilie Meyer, ont atterri en France il y a trois semaines en provenance du Sri Lanka, dernière étape de leur voyage d’un an. Atterri physiquement, car dans la tête, ils sont toujours un peu par-ci par-là, dans une ruelle bolivienne, sous un cerisier en fleur au Japon, dans un café du Cambodge ou sur une plage d’Australie.
Difficile pour le couple de dresser un « best of » de leur aventure, de n’évoquer que des bribes de 365 jours d’émerveillement. Les paysages boliviens ? Les journées avec les cousins brésiliens ? L’hôtel offert par la maman d’Emilie venue les rejoindre en Birmanie ? Les montagnes du Hunan en Chine ? « Mon meilleur souvenir, tranche Emilie, c’est d’avoir appris à m’ennuyer », à profiter simplement du temps qui passe.
Difficile pour le couple de dresser un « best of » de leur aventure, de n’évoquer que des bribes de 365 jours d’émerveillement. Les paysages boliviens ? Les journées avec les cousins brésiliens ? L’hôtel offert par la maman d’Emilie venue les rejoindre en Birmanie ? Les montagnes du Hunan en Chine ? « Mon meilleur souvenir, tranche Emilie, c’est d’avoir appris à m’ennuyer », à profiter simplement du temps qui passe.
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