Le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle par la voie de Tours depuis Paris, Tour Saint-Jacques jusqu’à Peyrehorade, ville de raccordement entre la voie de Tours et le Camino del Norte.
43ème étape de Ciboure à Hondarribia (Fontarrabie), Espagne le 18 septembre 2017 départ à 10h30 arrivée à 17h30 – 17 Km, 7h00 de marche pause comprise et traversée à l’embarcadère de Hendaye.
Département des Pyrénées-Atlantiques en Région Nouvelle-Aquitaine et Aquitaine pour la partie française. Fontarrabie (nom officiel en basque : Hondarribia ; en espagnol : Fuenterrabía) est une commune du Guipuscoa dans la communauté autonome du Pays basque en Espagne située à la frontière française sur la rive gauche de l'estuaire de la Bidassoa, en face d'Hendaye, avec Irun, Pasaia et Lezo pour voisins.
Ça y’est nous y sommes, le dernier jour en France. Départ ce matin de Ciboure pour Hendaye où nous devons prendre le bateau pour Hondarribia, Fontarrabie en espagnol. Au même titre que Ciboure et Saint-Jean-de-Luz, Hondarribia avoisine Irún. La traversée ne prend qu’une dizaine de minutes pour un prix dérisoire payable directement sur le bateau-navette. À peine arrivés, nous pouvons ressentir une autre ambiance du chemin, avec ces nombreuses indications nous menant directement à Compostelle, Muxia ou Fistera, ces coquilles par milliers et les nombreuses bornes à l’effigie du Camino. Que dire de toutes ces flèches jaunes que l’on peut apercevoir de loin, sur les panneaux, les poteaux, les murs, à même le bitume, que ce soit sur le trottoir ou sur la route. Inutile de s’encombrer d’un guide ou d’un livre. Parti sans aucune expérience de Paris après cinquante-deux jours sur les routes de France et mille soixante-seize kilomètres parcouru à pied, aujourd’hui je pouvais espérer encore plus de piquant pour plus de saveur à mon aventure. Comme j’avais fait le choix, au dernier moment, de passer par la côte atlantique nord du pays Basque espagnole jusqu’à la Galice, à travers les montagnes.
À la différence d’Eloïse, j’avais démarré mon chemin par beau temps pour malheureusement le terminer, comme il se doit dans la grisaille. Pour ma première étape espagnole demain, j’espère que le soleil sera au rendez-vous. Cela me donne l’envie de poursuivre par les sentiers du littoral en empruntant les pistes Gr, pressé de marcher entre la mer à ma droite et les montagnes sur ma gauche au milieu de chevaux, moutons et vaches. Malheureusement tout a une fin, Eloïse n’avait pas prévue de prendre ce chemin durant sa première semaine en Espagne. Elle préférait s’en tenir à son programme initial, en attendant de nous retrouver ultérieurement sur la route comme nous en avions l’habitude de le vivre avec d’autres pèlerins au quotidien.
Maintenant je me sens bien physiquement, plus de soucis aux pieds ni de problèmes de poids du sac à dos. Je repars à zéro dans cette partie espagnole pour l’autre moitié du périple qui, à ne pas en douter sera totalement différente de la voie de Tours. Avant j’étais d
43ème étape de Ciboure à Hondarribia (Fontarrabie), Espagne le 18 septembre 2017 départ à 10h30 arrivée à 17h30 – 17 Km, 7h00 de marche pause comprise et traversée à l’embarcadère de Hendaye.
Département des Pyrénées-Atlantiques en Région Nouvelle-Aquitaine et Aquitaine pour la partie française. Fontarrabie (nom officiel en basque : Hondarribia ; en espagnol : Fuenterrabía) est une commune du Guipuscoa dans la communauté autonome du Pays basque en Espagne située à la frontière française sur la rive gauche de l'estuaire de la Bidassoa, en face d'Hendaye, avec Irun, Pasaia et Lezo pour voisins.
Ça y’est nous y sommes, le dernier jour en France. Départ ce matin de Ciboure pour Hendaye où nous devons prendre le bateau pour Hondarribia, Fontarrabie en espagnol. Au même titre que Ciboure et Saint-Jean-de-Luz, Hondarribia avoisine Irún. La traversée ne prend qu’une dizaine de minutes pour un prix dérisoire payable directement sur le bateau-navette. À peine arrivés, nous pouvons ressentir une autre ambiance du chemin, avec ces nombreuses indications nous menant directement à Compostelle, Muxia ou Fistera, ces coquilles par milliers et les nombreuses bornes à l’effigie du Camino. Que dire de toutes ces flèches jaunes que l’on peut apercevoir de loin, sur les panneaux, les poteaux, les murs, à même le bitume, que ce soit sur le trottoir ou sur la route. Inutile de s’encombrer d’un guide ou d’un livre. Parti sans aucune expérience de Paris après cinquante-deux jours sur les routes de France et mille soixante-seize kilomètres parcouru à pied, aujourd’hui je pouvais espérer encore plus de piquant pour plus de saveur à mon aventure. Comme j’avais fait le choix, au dernier moment, de passer par la côte atlantique nord du pays Basque espagnole jusqu’à la Galice, à travers les montagnes.
À la différence d’Eloïse, j’avais démarré mon chemin par beau temps pour malheureusement le terminer, comme il se doit dans la grisaille. Pour ma première étape espagnole demain, j’espère que le soleil sera au rendez-vous. Cela me donne l’envie de poursuivre par les sentiers du littoral en empruntant les pistes Gr, pressé de marcher entre la mer à ma droite et les montagnes sur ma gauche au milieu de chevaux, moutons et vaches. Malheureusement tout a une fin, Eloïse n’avait pas prévue de prendre ce chemin durant sa première semaine en Espagne. Elle préférait s’en tenir à son programme initial, en attendant de nous retrouver ultérieurement sur la route comme nous en avions l’habitude de le vivre avec d’autres pèlerins au quotidien.
Maintenant je me sens bien physiquement, plus de soucis aux pieds ni de problèmes de poids du sac à dos. Je repars à zéro dans cette partie espagnole pour l’autre moitié du périple qui, à ne pas en douter sera totalement différente de la voie de Tours. Avant j’étais d
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