Le 17 juillet 2015, la décharge de Naamé, située au sud de Beyrouth, ferme. Le même jour, le contrat de la compagnie Sukleen, chargée de la collecte et du traitement des déchets depuis 1997, expire. Le pays plonge alors dans une crise inédite. Ordures ménagères accumulées dans les rues de la capitale et ses environs, incinération à l'air libre, odeurs pestilentielles...
Le gouvernement annonce des solutions, qui échouent l'une après l'autre. La colère de la rue gronde, mais la contestation s'essouffle au fil des mois. Aujourd'hui, un an plus tard, les Libanais attendent toujours l'application du dernier plan censé assurer la gestion de la crise.
Le gouvernement annonce des solutions, qui échouent l'une après l'autre. La colère de la rue gronde, mais la contestation s'essouffle au fil des mois. Aujourd'hui, un an plus tard, les Libanais attendent toujours l'application du dernier plan censé assurer la gestion de la crise.
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