François Xavier Bellamy : "Le terme conservatisme ou néo-conservatisme ne peut être que l'occasion d'une méprise ou d'une incompréhension. " - Vidéo Dailymotion

il y a 6 ans

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2:04

À suivre

MARC ENDEWELD : "Contre François Hollande, Emmanuel Macron n'a pas hésité à utiliser les réseaux de la droite et de Nicolas Sarkozy.

1:26

Jack Lang : "Le ministère de la Culture depuis 15 ou 20 ans part en quenouille. Les directions des affaires culturelles n'ont plus un centime, n'ont plus aucun moyen. Il n'y a plus d'énergie centrale. "

1:18

Marguerite Berard : " Finalement l'éducation est la clef de tout"

1:40

Jean-Pierre Chevènement : "Sans De Gaulle, la France abimée, précipitée au fond de l'abîme, ne se serait jamais relevée."

1:22

MARC ENDEWELD : "Macron tue en politique comme il tuait dans le monde économique."

1:03

Valérie Depadt : "On bascule du soin à l'obstination déraisonnable lorsque les soins deviennent inutiles, disproportionnés ou n'ont d'autres effets que le maintien de la vie."

1:34

Mathieu Bock-Côté : "Le Canada aime valoriser de manière folklorique sa diversité issue de l’immigration récente".

0:58

Mireille Sacotte : 'La critique a été très dure avec lui en disant : c'est un étranger, il parle mal le français."

1:15

Martin Hirsch : "Nous avons sur nos 600 services 200 services labellisés 'hospitalité' "

2:26

Jérôme Fourquet : "Ces prénoms (issus des immigrations turques, subsahariennes ou maghrébines ndlr) ne présagent en rien du degré d'intégration ou de patriotisme, des personnes qui les portent ou les donnent."

0:53

Pierre Bréchon : "Par rapport à 1981, aujourd'hui, il y a très peu de différence entre les générations sur le libéralisme des moeurs, sauf avec les générations nées avant 1945."

1:42

Marc Dugain : "Si la Nature avait voulu faire de nous des êtres immortels, elle l'aurait fait"

1:53

Nicolas Frémeaux : "Dans les années 70 on avait des générations qui accumulaient beaucoup de patrimoine, qui se faisaient, quelque part, toutes seules et aujourd'hui ce n'est plus du tout le cas, pour être riche aujourd'hui il faut être né au bon endroit

1:14

Clara Schmelck : "La nouvelle génération a intégré le fait qu'elle avait le choix d'influencer, de produire des faux pour donner lieux à un nouvel agenda politique, c'est dans les esprits que ça change. "

1:03

Pablo Servigne : "Je ne crois pas du tout que le gouvernement ou les multinationales peuvent radicalement changer les choses, radicale au sens de prendre le problème à la racine"

2:14

Eric Fassin : "C'est une prise de conscience que les homosexuels ne sont plus obligés de subir et qu'il peuvent aussi se battre."

1:22

Jean François Bayart : "Il y a une grande tradition de djihadisme qui est très complexe, l’Islam est arrivée au XIe - XIIe siècle"

1:26

Jean-Pierre Chevènement "J'ai vu en 58 que De Gaulle avait la capacité d'éviter la guerre civile."

34:18

Européennes : comment les divisions à gauche ont ouvert un boulevard à l’extrême droite

1:50

Sylvain Kahn : "L'Europe n'est pas seulement un continent, ni un espèce de continuum naturalo-culturalo-ethnique, c'est d'abord des relations sociales et un projet politique."

1:42

Catherine Audard : "L'alliance des libertés et de l'égalité sociale a été mise à l'épreuve par la mondialisation sans que les élites s'en soient suffisamment inquiétées."

1:06

Yann Moix : "Si vous enlevez Charles Maurras de la compréhension d'une époque, vous enlevez l'influence qu'il a eue sur Marcel Proust, Apollinaire, André Gide, Jacques Lacan. Maurras, qu'on le veuille ou non, fait partie de l'histoire des idées en France"

0:55

Bernard-Henri Lévy : "La haine ça n'est pas la lutte des classes. La lutte des classes, c'est la colère plus l'espérance et la fraternité."

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Sylvain Boulouque : "Il y a globalement un repli sur soi dans les nouvelles formes d'engagement. "

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Sylvaine Perragin : "Dans les années 80, dans les entreprises, on est passé d'une logique de métier à une logique de gestion."