FaceApp est devenue LA nouvelle application à la mode grâce à
son filtre vieillissant
ultra-réaliste ! Des millions d’internautes se sont prêtés au jeu, dont de nombreuses stars. L’application a même été propulsée en tête du classement des applications gratuites, selon Le Huff Post. Pourtant, la question du traitement des données personnelles est en cause ! Si vous n’avez pas lu les conditions d’utilisation de FaceApp, sachez que l’application se réserve le droit d’utiliser vos photos, de les retoucher et de les exploiter. L’entreprise se permet également de collecter de nombreuses données personnelles : adresse IP, pages consultées, historique de navigation… Ainsi, FaceApp contourne le règlement européen des données personnelles (RPGD). La rumeur circulait que les serveurs puisaient dans l’ensemble de la galerie photos de l’utilisateur. Elliot Anderson, chercheur en sécurité, a infirmé cela. Il en a conclu que seules les photos chargées sur la plateforme pouvaient être utilisées par la société éditrice, basée en Russie à Saint-Pétersbourg. Obligé de réagir, Iaroslav Gontcharov, à la tête de la société, a assuré dans une interview que la plupart des photos étaient détruites des serveurs, 48 heures après leur téléchargement. En 2017, l’application avait déjà fait polémique avec des filtres jugés comme racistes (filtres de blanchissement de la peau pour les personnes noires).
son filtre vieillissant
ultra-réaliste ! Des millions d’internautes se sont prêtés au jeu, dont de nombreuses stars. L’application a même été propulsée en tête du classement des applications gratuites, selon Le Huff Post. Pourtant, la question du traitement des données personnelles est en cause ! Si vous n’avez pas lu les conditions d’utilisation de FaceApp, sachez que l’application se réserve le droit d’utiliser vos photos, de les retoucher et de les exploiter. L’entreprise se permet également de collecter de nombreuses données personnelles : adresse IP, pages consultées, historique de navigation… Ainsi, FaceApp contourne le règlement européen des données personnelles (RPGD). La rumeur circulait que les serveurs puisaient dans l’ensemble de la galerie photos de l’utilisateur. Elliot Anderson, chercheur en sécurité, a infirmé cela. Il en a conclu que seules les photos chargées sur la plateforme pouvaient être utilisées par la société éditrice, basée en Russie à Saint-Pétersbourg. Obligé de réagir, Iaroslav Gontcharov, à la tête de la société, a assuré dans une interview que la plupart des photos étaient détruites des serveurs, 48 heures après leur téléchargement. En 2017, l’application avait déjà fait polémique avec des filtres jugés comme racistes (filtres de blanchissement de la peau pour les personnes noires).
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