O.P. - Ordre Publique Gènes - G8-2001- Vostfr - 1sur5
POUR L’ANCIEN PRÉSIDENT ITALIEN, IL FAUT MASSACRER LES ÉTUDIANTS, LYCÉENS ET PROFESSEURS EN GRÈVE
On comprend mieux ce qui s’est passé à Gènes, en 2001… mais surtout, cela constitue un aveu de taille de la part de Cossiga, l’homme des coups tordus, l’inventeur de faux attentats terroristes et grand manipulateur au service des “Stay Behind”…
Déclarations du Sénateur Francesco Cossiga, ancien Président du Conseil, au journal “Il giorno”, “Il resto del Carlino” et “La Nazione”, le 23 octobre dernier.
“Maroni devrait faire ce que j’ai fait quand j’étais ministre de l’intérieur.”
(…)
C’est à dire?
“Premièrement, laisser tomber les lycéens, pensez donc à ce qui arriverait si un gamin se faisait tuer ou était gravement blessé…”
Et les étudiants?
“Les laisser faire. Retirer les forces de police des rues et des universités, infiltrer le mouvement avec des agents provocateurs prêts à tout, et laisser pendant une dizaine de jours les manifestants dévaster les magasins, brûler les voitures et mettre la ville à feu et à sang.”
Et après?
“Et après, assuré du consensus populaire, le bruit des sirènes des ambulances devra dominer celui des voitures de police et des carabiniers.”
Dans quel sens…
“Dans le sens où les forces de l’ordre devront massacrer les manifestants sans pitié et les envoyer tous à l’hôpital. Ne pas les arrêter, parce que de toute façon les magistrats les remettraient aussitôt en liberté, mais les frapper, et frapper aussi ces professeurs qui les agitent.”
Les professeurs aussi?
“Surtout les professeurs.”
Président, vous faites un paradoxe, non?
“Je ne dis pas les vieux, bien sûr, mais les petites institutrices si. Est-ce qu’on se rend compte de la gravité de ce qui est en train de se passer? Il y a des enseignants qui endoctrinent des enfants et les emmènent dans la rue: une attitude criminelle!”
On comprend mieux ce qui s’est passé à Gènes, en 2001… mais surtout, cela constitue un aveu de taille de la part de Cossiga, l’homme des coups tordus, l’inventeur de faux attentats terroristes et grand manipulateur au service des “Stay Behind”…
Déclarations du Sénateur Francesco Cossiga, ancien Président du Conseil, au journal “Il giorno”, “Il resto del Carlino” et “La Nazione”, le 23 octobre dernier.
“Maroni devrait faire ce que j’ai fait quand j’étais ministre de l’intérieur.”
(…)
C’est à dire?
“Premièrement, laisser tomber les lycéens, pensez donc à ce qui arriverait si un gamin se faisait tuer ou était gravement blessé…”
Et les étudiants?
“Les laisser faire. Retirer les forces de police des rues et des universités, infiltrer le mouvement avec des agents provocateurs prêts à tout, et laisser pendant une dizaine de jours les manifestants dévaster les magasins, brûler les voitures et mettre la ville à feu et à sang.”
Et après?
“Et après, assuré du consensus populaire, le bruit des sirènes des ambulances devra dominer celui des voitures de police et des carabiniers.”
Dans quel sens…
“Dans le sens où les forces de l’ordre devront massacrer les manifestants sans pitié et les envoyer tous à l’hôpital. Ne pas les arrêter, parce que de toute façon les magistrats les remettraient aussitôt en liberté, mais les frapper, et frapper aussi ces professeurs qui les agitent.”
Les professeurs aussi?
“Surtout les professeurs.”
Président, vous faites un paradoxe, non?
“Je ne dis pas les vieux, bien sûr, mais les petites institutrices si. Est-ce qu’on se rend compte de la gravité de ce qui est en train de se passer? Il y a des enseignants qui endoctrinent des enfants et les emmènent dans la rue: une attitude criminelle!”
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