L’accusatrice mythomane du dossier Outreau, sortie de prison en 2011, comparaissait ce jeudi 29 août à Rennes, en comparution immédiate, pour vol aggravé et falsification de chèques. Elle repart en prison, pour huit mois.
Physiquement, elle a changé. Ses cheveux couleur ébène ont poussé. Une frange nettement coupée tombe sur ses grands yeux noirs. À Rennes (Ille-et-Villaine), elle était apparue très amincie déjà, en mai 2015, au procès de Daniel Legrand, l’un des 13 acquittés d’Outreau. Elle portait alors un hijab.
Ce mercredi, son passé d’accusatrice mythomane dans l’affaire Outreau a refait surface au tribunal correctionnel de Rennes. Elle y était poursuivie, en comparution immédiate, pour falsification de chèques, vol avec violences et un vol de téléphone portable, entre février et juillet 2019.
Son physique n’est plus le même, mais son discours est émaillé de propos mensongers. Elle déclare avoir remis un chèque volé à un homme qu’elle fréquentait jusqu’en mai. Or, le chèque a été volé en juillet. Elle donne l’identité d’un autre homme, qui ne pourra être retrouvé par les policiers.
Physiquement, elle a changé. Ses cheveux couleur ébène ont poussé. Une frange nettement coupée tombe sur ses grands yeux noirs. À Rennes (Ille-et-Villaine), elle était apparue très amincie déjà, en mai 2015, au procès de Daniel Legrand, l’un des 13 acquittés d’Outreau. Elle portait alors un hijab.
Ce mercredi, son passé d’accusatrice mythomane dans l’affaire Outreau a refait surface au tribunal correctionnel de Rennes. Elle y était poursuivie, en comparution immédiate, pour falsification de chèques, vol avec violences et un vol de téléphone portable, entre février et juillet 2019.
Son physique n’est plus le même, mais son discours est émaillé de propos mensongers. Elle déclare avoir remis un chèque volé à un homme qu’elle fréquentait jusqu’en mai. Or, le chèque a été volé en juillet. Elle donne l’identité d’un autre homme, qui ne pourra être retrouvé par les policiers.
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