• il y a 5 ans
Le 1er septembre 1944, notre village de Picquigny était enfin libéré.
Mais cela ne signifiait pas que tout danger était écarté pour la population.
C'est ainsi que le jeune Maurice Bailleux a été tué ce jour de Libération et la fin de la guerre.Abattu de sang froid par un soldat allemand qui, avant de se sauver,tenait à faire des dégâts.
Et c'est ce qui est arrivé à Picquigny mais aussi dans des villages voisins comme la Chaussée Tirancourt.
Longtemps, ce drame atroce est passé inaperçu mais il aura fallu que les Racines Calcéennes animées par André Sehet et la municipalité de Picquigny rappellent ce drame.
Ce samedi 31 août, une stèle à la mémoire de Maurice Bailleux a été dévoilée.
Elle se trouve en face de la Maison Eclusière pas très loin de l'endroit où Maurice Bailleux a été abattu.
Une foule nombreuse et recueillie a assisté à cette cérémonie quiva été marquée par des discours du conseiller départemental Jean Jacques Stoter, des maires de Picquigny et la Chaussée Tirancourt, d'André Sehet président des Racines Calcéennes, Jean Pierre Delory président du Souvenir Français en présence de nombreux porte drapeaux et bien sûr d'André Dechoz, le président cantonal des Anciens Combattants.

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