Le Collectif « Non à EDVIGE », fort de cette première victoire, continue à se mobiliser contre ce fichier de « ressenti » et non de faits, fondé sur des simples suspicions ; la collecte de données les plus sensibles comme l’origine ethnique, les opinions politiques, l’appartenance syndicale, les convictions religieuses ; le fichage à priori des enfants à partir de l’âge de 13 ans sur leur dangerosité potentielle ; le mélange de finalités très différentes dans un même fichier.
Paris, le 21 novembre 2008.
Paris, le 21 novembre 2008.
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